1. Les deux soeurs (2)


    Datte: 10/06/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... commencer, assura la sexagénaire. Mais on ne va pas rester là, on serait trop visibles. On va aller dans le petit bois derrière, c'est plus discret même s'il y a des voyeurs. La petite troupe ramassa serviette et vêtements qu'elle posa sous des frondaisons d'arbustes dans une odeur de résine. Allongé les mains sous la nuque, jambes écartées, Lionel attendait sereinement la suite des événements. Martine, à genoux à ses côtés, s'empara du plantureux sexe au repos de son époux. Associant travail de la bouche et agilité des doigts, la dame aux cheveux gris fit très vite grossir le membre au point de susciter l'admiration de l'assistance, à commencer par Agnès. "C'est vraiment une experte, on voit qu'elle a de la pratique", se dit-elle. Le pénis prit un diamètre impressionnant, d'une rigidité parfaite et Martine le passa à la suivante comme une athlète transmet le témoin dans un relais d'athlétisme. Ce fut Sandrine, qui de l'autre côté du corps, joua de la langue avec autant de virtuosité, aussitôt imitée par Marjorie, placée en face, toutes deux se partageant le gland qui, congestionné, avait pris une teinte violacée. Lionel commençait à gémir et les deux amies décidèrent de s'interrompre pour lui permettre de se désexciter quelque peu. Mais le sexagénaire protesta : - Non, continuez, c'est trop bon. Alors, Agnès prit le relais. La situation était pour elle totalement inédite. Si la fellation n'était évidemment pas une première pour elle (elle l'avait abondamment pratiquée la ...
    ... nuit précédente avec Corentin), c'était la première fois qu'elle l'exerçait devant témoins. Il s'agissait de ne pas faillir. Contrairement aux précédentes suceuses, elle se positionna longitudinalement, entre les jambes de Lionel. Dès qu'elle eut engloutit le membre, elle oublia le contexte pour se concentrer sur son action. Le volume du gland occupait entièrement sa bouche et elle ne se souvenait pas en avoir sucé d'aussi gros. C'était comme si elle mangeait un beau morceau de viande alors qu'avec Corentin, elle avait l'impression de sucer un bonbon. Elle y mit une telle conviction qu'elle s'échauffa et éprouva le besoin de se masturber tout en suçant. Mais ce qu'elle avait oublié, c'est que sa position à genoux, penchée en avant, et sa main sur sa vulve, offrait un panorama somptueux à des regards mâles. D'abord à deux voyeurs, surgis de dessous les pins, deux quinquagénaires ventripotents en sandales pour ne pas se piquer les pieds aux aiguilles de pin. Ils comprirent d'emblée que la scène qui s'offrait à eux allait les récompenser de tant de frustrations et d'errances en vain, nonobstant quelques accouplements homosexuels qui leur répugnaient. Mais c'est surtout à Christophe que la situation allait profiter. Il était littéralement fasciné par cette croupe dressée vers le ciel, charnue, fendue, ample, rosie par le soleil, et par cette branlette de vulve qui n'attendait que son pénis. Son sang ne fit qu'un tour. A genoux derrière elle, il prit sa queue en main et la dirigea ...
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