1. Ma Logeuse Ch. 13


    Datte: 10/06/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... et jean. J'allais me relever moi aussi quand Hélène, qui nous avait suivi, m'interpella. « Bouge pas petit-puceau, tu n'as pas fini » Résigné, je me rallongeai et replaçait le goulot de l'entonnoir dans ma bouche. À son tour, Hélène s'accroupit sur moi et, écartant sa culotte de la main, se soulagea dans ma bouche. Le goût de son urine était plus fort, plus amer... sa miction dura moins longtemps aussi, comme c'était maintenant devenu une sorte d'habitude, je léchais sur ses lèvres et dans ses poils les résidus de sa pisse. Je me relevais enfin. J'avais la tête qui tournait et le cœur un peu barbouillé. Ma bouche était imprégnée du goût à la fois fade et acre de l'urine. Je me rendis compte que j'avais appris à accepter cette saveur étrange et que probablement, si j'avais fait ce genre de choses il y a seulement quelques semaines, je n'aurai pas pu m'empêcher de vomir. Nous reprîmes notre chemin comme si de rien n'était. Carole se rapprocha de moi, me pris pas le bras et murmura à mon oreille. « J'ai adoré cela » Je me penchai à mon tour vers elle. « Moi aussi » Hélène avait du nous entendre. « Ça va petit-puceau, nous deux, ça ne te fait pas trop? » J'eus un flash soudain sur ce que je venais de faire et je me sentis emporté dans une sorte de délire masochiste. « Non Madame, je suis là pour vous servir » Elle eut un petit rire badin « C'est vrai que tu es utile, ça nous évite de polluer la nature... et puis, le recyclage, c'est très écologique » En rentrant, Hélène me fit ...
    ... me coucher sur le large banc de bois installé dans l'entrée. Il devait faire environ deux mètres de long et une soixantaine de centimètres de large et je tenais complètement allongé sur cette paillasse dure. Elle ne dit rien et me fit me relever. J'espérais au fond de moi qu'elle n'avait pas l'intention de me faire dormir la-dessus. J'avais gardé autour du cou le collier d'esclave qu'elles m'avaient passé la veille, personne ne m'ayant dit de l'enlever et moi même ayant résolu, il y a déjà longtemps, d'obéir strictement aux ordres. Ce fut Hélène qui me le fit remarquer. « Tu as gardé ton collier? » « Oui » « Tu veux le garder? » « C'est vous qui décidez » « Qu'est ce que tu en penses Carole? » « Bof, moi j'y tiens pas, c'est bien de le lui mettre de temps en temps, mais s'il l'a tout le temps » Hélène passa derrière moi et retira le bracelet de cuir de mon cou. « Allez, va nous préparer le déjeuner » Nous déjeunâmes tranquillement... c'était incroyable le décalage entre nos relations de plus en plus marquées dans le monde du D/S, et les relations amicales, voire amoureuses, qui existaient entre nous. Je les aimais et elles le savaient, j'étais sûr que, d'une certaine manière, elles m'aimaient aussi, et je me retrouvais là, à discuter avec elles de tous et de rien comme des amis de longue date, alors que j'étais nu, encagé. Carole fut de mauvaise humeur toute l'après midi. Je me demandais si mon comportement, ou celui d'Hélène lui avait déplu et je m'en ouvrit à elle au moment ...
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