1. Ma Logeuse Ch. 13


    Datte: 10/06/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... sur ses genoux, tandis qu'elle me caressait doucement les cheveux . Le repas du soir fut triste. Hélène essayait d'alimenter la conversation, mais ni Carole, ni moi n'avions envie de parler. Alors Hélène trancha dans le vif. « Bon vous n'allez pas faire la gueule toute la semaine quand même... dans ce cas là, on revient aux bases, tous le monde se rhabille et se tient bien » Nous baissâmes tous les deux la tête, comme deux enfants rappelés à l'ordre par leur mère. Je me sentais infiniment triste. Et la semaine repris. Je révisai mon examen dans la chambre de Carole mais prenait soin de la quitter avant qu'elle ne rentre pour éviter de rester seul avec elle. Le matin, elle descendait de plus en plus tard, sans doute pour les même raisons. Le vendredi soir, après le repas, je regardais la télé avec Hélène pendant que Carole préparait ses affaires dans sa chambre. Hélène de leva et je l'entendis distraitement monter les escaliers. Elle redescendit quelques minutes plus tard. « Pascal, va voir Carole, elle a quelque chose à te dire. » Un peu surpris que Carole ne sois pas descendu me le dire elle-même et intimidé à l'idée de me trouver seul face à elle, je montais dans sa chambre. La porte était fermée et je frappais : « Entre Pascal » Je restai subjugué. Carole était entièrement nue, allongée sur son lit. Elle portait autour du cou la chaîne en or d'Hélène où était pendue la clé de ma cage. « Déshabille toi » Fébrilement, je retirai mes vêtements, sentant déjà dans ma cage ...
    ... l'effet que me faisait le corps nu de Carole. Carole se mit à genoux sur le lit. « Allonge toi là et tais toi » J'obéissais en tremblant d'excitation. Carole passa la chaîne par-dessus sa tête et, se penchant sur moi, ôta délicatement la cage de chasteté. Mon sexe rougi pas le confinement jaillit immédiatement de sa prison en pleine érection. Après avoir soigneusement posé la cage sur le table de nuit, Carole me fixant dans les yeux saisit mon membre et commença à me masturber lentement. Je sentis rapidement le plaisir monter mais ses mouvements étaient trop lents pour me faire atteindre l'orgasme. « Plus vite s'il vous plaît » « Chuuut... tais toi je t'ai dit » Son mouvement n'accéléra pas pour autant et je commençai bouger pour aller au-devant de sa main. Elle me laissa faire et c'est à moitié par mes mouvements, et à moitié par les siens que je sentis monter en moi la jouissance tant attendue... et au moment précis ou je pensai que j'allais exploser, elle retira sa main, contemplant avec sourire les trépidations désespérées de mon sexe qui recherchait de manière réflexe la stimulation finale, je ne pus m'empêcher de crier ma frustration. « Non... non... je vous en supplie... continuez » Elle ne bougeait pas, observant attentivement mes contorsions vaines. Puis le plaisir entrevu reflua et mon corps fut pris de violents tremblement « Pourquoi vous faites ça? » « Parce qu'il faut faire durer le plaisir petit-puceau, mais tu m'énerves... je t'ai dit de te taire » Elle enjamba ma ...
«12...456...10»