1. Ma Logeuse Ch. 13


    Datte: 10/06/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... pouvoir me lever. Une fois levé, je m'habillais et descendis faire le café. À ma surprise, Hélène était déjà là, habillée et prenait tranquillement son petit-déjeuner « Alors petit-puceau... c'était bien » « C'était merveilleux Hélène... merci » « C'est pas tellement moi qu'il faut remercier... mais c'est vrai que d'après ce que j'ai entendu, tu as déjà remercié Carole à ta façon... dis moi au moins, tu es toujours puceau? » « Oui Hélène, nous ne vous aurions pas fait ça » « C'est bien... je savais que je pouvais vous faire confiance... tu as ta cage? » « Non » Carole arriva à ce moment, en robe de chambre, frottant ses yeux encore englués de sommeil. Hélène eut un sourire complice. « Bonjour ma Chérie... alors, ça t'a plu » Carole rougit un peu en se souvenant des cris de bête blessée qu'elle avait poussé la veille « Oui... c'était fabuleux... tout.. » « Mais tu n'as pas remis sa cage à Pascal » « Euh... non... je n'y ai plus pensé » Hélène eut un rire moqueur « Te rends tu comptes, ma chérie, qu'il aurait pu te violer dans ton sommeil » Carole me fixa dans les yeux avant de répondre « Ça n'aurait pas été du viol » « Bon, aller, sérieusement, va chercher sa cage et remets lui » « Maintenant? ici? » « Oui , ici et maintenant » Carole remonta dans sa chambre. « Descends ton pantalon qu'elle puisse t'encager. » J'obéis calmement à cet ordre et j'avais le pantalon et le boxer-short sur les chevilles quand Carole revint. Devant le regard scrutateur d'Hélène, elle se mit à genoux ...
    ... devant moi, serra l'anneau de métal derrière mes testicules, et enfila délicatement la cage grillagée sur mon membre. Le mécanisme se referma avec le clic sonore habituel, me condamnant à une nouvelle période sans jouissance. Le fait que ce soir Carole qui ai fait cela était pour moi très symbolique. Elle me possédait maintenant à égalité avec Hélène. Carole tendis à Hélène le collier avec la clé. Hélène la passa autour de son cou pendant que je remontais mon pantalon. La journée se passa tristement et je sentais naître un sorte de douleur dans la poitrine au fur et à mesure que l'heure du départ de Carole se rapprochait. À l'heure dite, elle s'approcha de moi, les yeux embués. « Et bien au revoir Pascal » « Au revoir Carole... faites attention à vous » Nous nous prîmes tous deux dans les bras longuement en silence, ne pouvant retenir nos larmes. Hélène vint nous enserrez tous les deux. « Mes enfants... votre vie est ce que vous en faîtes... ne soyez jamais triste de vos choix, assumez les. Carole, cette maison t'est ouverte quand tu le veux.. Tu n'as même pas besoin de prévenir... tu es ici chez toi. » Carole essuya ses larmes, pris ses sacs, et sa valise, et partit sans dire un mot. J'étais complètement dévasté. Hélène vint à mon secours « Pascal, si tu veux, ce soir tu peux dormir avec moi... je veux dire, dans mon lit » Je me réfugiais contre le corps d'Hélène mais le cœur n'y était pas. Pourtant, malgré mon désarroi, l'odeur de sa peau provoqua une tension sensible dans ...