Ma tante de 45 ans est sublime (15)
Datte: 10/06/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... sœur était compétente. — Il se fait tard, je vous laisse vous retrouver, vous devez avoir plein de choses à vous dire ; bonne soirée entre frère et sœur ! — Bonne soirée à toi et à demain. Nous partîmes et j’emmenai ma tante à dîner dans un restaurant italien réputé La Dolce Vita situé dans Beverly Hills, histoire d’épater Chantal. Effectivement, elle fut épatée en arrivant, bougies sur les tables avec nappes, ambiance feutrée, ma tante fut immédiatement conquise. — Jean, je ne pouvais rêver mieux et dire que j’ai encore ma valise dans le coffre ! — Oui et cette fois je t’invite et tu dors chez moi. — Mais j’ai une question à te poser pour le job. — Je t’écoute ma chérie. — Si je comprends bien, tu vas devenir mon boss puisque tu diriges la section développement et ressources. — Exact et ca te fait peur ? — Non, je trouve ça excitant d’être dirigée par mon mec ! — Tiens tiens...et maintenant dînons. — J’ai faim mon petit frère ! Ma tante se fit rire elle-même sous mon œil amusé. J’adorai cette nana, pétillante, de bonne humeur, souriante. Elle s’absenta un moment, je vis sa silhouette gracieuse, ses mollets fins et ces quelques mots de Balzac me vinrent à l’esprit. "La femme est l’être le plus parfait entre les créatures...elle est une créature transitoire entre l’homme et l’ange". Cette citation seyait parfaitement à cette femme s’éloignant momentanément. Notre dîner terminé, nous arrivâmes chez moi et Chantal admira la vue sur mer. Je la mis tout de suite à l’aise en lui ...
... indiquant la salle de bain. Il fut 23 heures et nous décidâmes de nous coucher, fatigués l’un et l’autre par cette journée stressante. Un long baiser accompagna le début de notre nuit mais mon sexe en décida autrement. Je me mis à couvrir de baisers ma tante tandis que le drap s’évapora par un tour de magie. Mes baisers atteignirent sa poitrine et Chantal redressa son buste, laissant pointer ses seins dans ma direction. Je perçus chez elle une disposition à faire ce que bon me semble de sa poitrine, affamée de plusieurs mois de diète. Je palpai son sein resplendissant, je pinçai avec légèreté son téton, je crus sur l’instant que du lait maternel allait s’échapper de ce mamelon si désirable. Je ne fis que presser la pointe de ce sein et aussitôt, Chantal se fit câline à souhait en me caressant les cheveux, les épaules, mon corps. — Oh tète-moi mon chéri, j’en ai tellement envie. Me dit-elle avec un air suppliant. J’englobai ce sein avec ma main en le pressant délicatement et portai sa pointe vers mes lèvres. Ma langue fit le tour de son auréole et l’effet fut instantané. Chantal se mit à gémir en me susurrant que c’était fabuleux, que je pouvais faire d’elle ce que je voulais, qu’elle était à moi, qu’elle m’appartenait. Je mordillai son téton durci à souhait tandis que ma main se faufila entre ses jambes, qui au passage se dispersèrent pour mieux câliner son intimité. Chantal m’attira vers elle, nos bouches se rejoignant, mon corps contre le sien. Ma tante saisit mon membre, ses ...