1. Ma révélation sexuelle (1)


    Datte: 11/06/2021, Catégories: Hétéro

    ... au baiser. « Hm, vraiment exquis » dit-il coquin. Quoique j’étais persuadée qu’il avait dû procéder de la même façon avec de nombreuses femmes, jeunes femmes, je ne pus m’empêcher de lui sourire, flattée. « Ça va ? » me demanda-t-il. Je hochais la tête. « Plutôt oui » j’ajoutais. Il descendit une main sur l’un de mes seins. « Et eux ? » continua-t-il. Je souris en le voyant porter son attention sur ma poitrine en palpant mon sein, en le faisant gonfler et ressortir un peu plus de mon décolleté. « Je pense qu’ils apprécient l’attention que tu leur porte » répondis-je coquine. Je fus surprise lorsqu’il releva les yeux vers moi pour me demander si les regards des hommes sur ma poitrine me dérangeaient. Ce faisant je le sentais chercher mon téton. Je lui répondis, sincère, que cela dépendait, que le sien m’avait rarement dérangé, et même plutôt plu. Ça y est, il avait trouvé le téton et le tripotait gentiment, l’excitait. Il durcit vite. J’étais frustrée. Je voulais lui montrer que j’étais en train de m’exciter, mais je ne savais pas comment faire. Il me sourit, semblant le comprendre et, délicatement, sa main glissa sur mon épaule pour rejeter la bretelle de mon débardeur. Il l’a fit descendre le long de mon bras en même temps que je manœuvrais pour lui faciliter la tâche. Dès que ce fut fait il découvrit mon sein et, tout en le plotant, se pencha pour l’embrasser, le lécher. Il le sortit du soutien-gorge pour s’occuper tout ...
    ... particulièrement de mon téton. Je gémissais doucement à mesure que le désir croissait en moi. Je caressais sa tête. vcbvzzmi Je m’attendais à ce qu’il pose une main sur ma cuisse et remonte, histoire d’aller plus loin, mais non. Il semblait se satisfaire de la situation pour l’instant, à moins qu’il ne préférât que je fasse le prochain pas. En tous cas, prise par une soudaine audace, je décidais de retirer ma culotte. Il se redressa et me regarda, un peu surpris au début. Il avait probablement pensé que j’étais gênée et que je bougeais pour lui signifier mon inconfort. Puis il comprit et me regarda faire. Holala, j’étais toute à la fois excitée et gênée. Je le regardais, pris l’une de ses mains et la posait sur ma cuisse, rouge comme une pivoine j’en suis sure, en tous cas bouillante d’excitation et de trac. Il se leva soudainement et me tendit la main pour m’inviter à me lever. Je compris tout de suite qu’il voulait m’emmener dans un endroit plus adéquat. Quel gentleman. Je pris sa main et me levait. « Je ne t’ai pas fait visiter au fait » dit-il pour combler le silence un peu gêné qui risquait de s’installer. Sur le chemin de la chambre, je remis la bretelle de mon débardeur. « Voici, la salle de bain, …, et puis la chambre ». Audacieuse, je rentrais dedans. Que faire maintenant ? Je m’assis sur le lit et, coquine, éprouvait le matelas. « Il a l’air confortable » dis-je en le regardant et en lui rendant la direction des opérations. 
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