Marie - Ange & Démon (7)
Datte: 11/06/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
... faire reconnaître. Elle a un bandeau devant les yeux, mais elle n’est pas sourde. Même si quelque chose t’étonne, tu ne dis rien. Mais aussi comme je te l’ai dit, il va falloir la mériter. Je te rappelle ta promesse… — Oui je sais. Tout, du moment que je peux la baiser sans qu’elle sache que c’est moi. — Alors, entrons. Il connaît bien entendu parfaitement les lieux. La grande pièce qui fait office de salon avec le canapé, les fauteuils, la table basse, la télé, un peu plus loin un coin-repas et de l’autre côté un bar. Un bar constitué d’un buffet en bois blond, les portes ouvragées telles des soleils rayonnants, une barre en bois rustique fixée au sol, faisant office de repose-pieds. Quatre tabourets lui font face. Ce coin du salon était leur endroit de prédilection du temps où ils vivaient en couple. C’est souvent de cet endroit que Marc prenait Marie en photo aussi bien habillée que nue, avec des poses suggestives qui devaient lui sembler à l’époque le top de l’érotisme. Celle qui est devant lui aujourd’hui, c’est bien Marie, mais elle est à des lieux de la gentillette bigote qui minaudait lorsque son copain voulait le photographier. Je peux presque l’entendre : ""Marc, allons, je ne peux pas… Toute nue… Devant ce bar…tu me prendrais pour une dévergondée… Me pencher ? Mais tu n’y penses pas ! On va voir… Oh non pas si près… Pas mon minou… Arrête, pas avec la bouche, c’est sale… Oh… Coquin… Non… Continue… J’ai honte…"" Georges est confortablement installé dans un ...
... fauteuil, un verre à la main. Les deux hommes se saluent de la tête. Le sourire de Georges est manifestement ironique. Celui de Marc, plus contraint. Il a devant lui l’homme par lequel tout est arrivé. Le maître chanteur, l’amant, le dominant de celle qui donnait le change à son copain alors qu’elle se laissait rabaissée, humiliée, labourée ! Mais, bien évidemment, c’est Marie qui attire le regard. Elle est assise sur les genoux du boucher, propriétaire virtuel de cette jeune femme. Georges la pousse pour qu’elle se relève. — Montre-toi un peu que notre invité puisse profiter. — Il est là ? Elle demande, jouant parfaitement le jeu et regardant dans une direction imprécise, comme si le bandeau qui lui cache les yeux était vraiment opaque. Mais ce n’est pas le cas. C’est un jeu de dupes. Un étranger pourrait penser que Georges et moi sommes les pervers de ce quatuor, organisant une rencontre pour notre plaisir exclusif et utilisant ces deux jeunes comme instruments de notre vice. Que nenni ! Que Marc, malgré son cocufiage, apprécie d’être le voyeur des "orgies" de son ex, ce n’est pas pervers ? Qu’il soit prêt à tout ? Et il ne sait pas encore ce que ce "tout" signifie pour lui. Profiter, tel un client sur une pute, de Marie, ce n’est pas vicieux ? Et que dire de Marie ? ""Marie salope !"" C’est à se demander si ce n’est pas elle qui est à l’origine de cette expression ! Pour elle, il n’y a aucun doute, elle est définitivement perdue pour la petite vie de famille. Il en faudrait à son ...