Camille
Datte: 11/06/2021,
Catégories:
fh,
fête,
entreseins,
Oral
préservati,
pénétratio,
fsodo,
occasion,
... gestes pas du tout anodins dans le langage de la séduction. Moi je ne savais pas le pratiquer. Je fus donc normal. Par contre je ne pouvais pas m’empêcher de la regarder Je crois que quelque part c’est ce qui lui plut… — Et donc Alexandre, qu’est ce que tu fais dans la vie ? me demanda-t-elle en pleine conversation. Cette question rendit jalouses toutes les personnes autour de moi. Moi qui ne suis pas si beau, plutôt triste et pas intéressant, pourquoi me parlait-elle ?— Eh bien, en fait je suis architecte.— Architecte ? Je pourrais vous décrire précisément comment se passa notre conversation. Toujours est-il que nous parlâmes pendant des heures. Mes yeux lui appartenaient, ma bouche aussi. Nous n’étions plus que tous les deux. Au fil de la conversation, elle vint se positionner à côté de moi. Je sentais sa sexualité. Je ne sais pas si vous avez remarqué mais certaines femmes dégagent ce petit truc inexplicable. Ce petit truc qui te signale que le sexe pour elle est plus qu’une formalité. Tu ressens cette envie, ce désir, cette joie qui lui brûle la peau. Bientôt deux heures du matin, je sentais la fin venir et, je ne sais pas pourquoi, je me mis à espérer qu’elle voudrait beaucoup plus. Mais elle se leva, prit son manteau, embrassa Eloïse et Greg et se rendit vers l’entrée sans même m’adresser la parole. Je fus surpris, mais je dois admettre que vu mon état je ne pouvais pas m’attendre à autre chose. Elle ouvrit la porte puis se tourna vers moi. Elle s’arrêta et me fixa du ...
... regard. Dans ce regard qui m’appelait, je sentis toutes ses envies. Je pris mon manteau, serrai chaleureusement Greg et me tournai vers Eloise. — Merci ma douce ! Je pris Camille par la main et, dans son sourire, je pouvais déceler le plaisir d’être là avec moi. Nous descendîmes par l’ascenseur où nous fûmes serrés l’un contre l’autre. Je pus sentir son parfum qui venait chatouiller mes sens. Je sentais la chaleur de sa peau. J’embrassai la base de son cou puis je remontai doucement jusqu’à sa bouche. Ses lèvres pulpeuses et brillantes me rendaient fou. Une secousse ! Nous sommes au rez-de-chaussée. Je sors, l’entraînant dehors. Il n’y avait plus que nous deux, la terre aurait pu s’écrouler que je n’aurais vu qu’elle. J’étais dans ses yeux, j’étais dans son corps, sa chair. Nous marchions rapidement pour arriver chez moi. Nous étions en train de fuir, courant vers notre liberté. Clap ! clap ! Ses bottes rythment nos pas. Nous arrivons. Mon appartement se trouve au deuxième étage. La porte claque et je la vois, belle dans mon salon. Ses cheveux noirs retombant sur son visage lui donnent un air espiègle. J’étais prêt à voyager. Je m’approchai d’elle doucement puis l’attrapai par les hanches, mes lèvres se lièrent aux siennes, dès cet instant nous ne fûmes plus qu’un, partageant nos respirations, nos faiblesses et nos désirs. Nos embrassades nous menèrent dans ma chambre où elle me jeta sur le lit. Le jeu pouvait commencer. Je sentais chez elle cette folie créative, cet esprit ...