Moi, la femme de Karim
Datte: 11/06/2021,
Catégories:
Anal
Lesbienne
Sexe Interracial,
J’ai entamé, sous la direction éclairée de mon mari Karim, une double vie. La première étant celle d’une enseignante dans un lycée à Rabat, ayant une réputation de femme et de mère de famille sérieuse et respectée de tous. C’est ce que j’appelle ma vie officielle, une vie en apparence bien ordonnée et bien rangée. Aucune irrégularité qui puisse faire jaser quiconque.Mais ma vie réelle, ma deuxième vie, correspond mieux à ma nature profonde. C’est une vie vouée au sexe et à l’érotisme débridés. C’est une vie secrète, remplie de ce que la société appelle le vice et l’immoralité. Immoralité par rapport à l’environnement social dans lequel est plongé notre pays depuis la nuit des temps, mais surtout depuis sa prise en charge par le phénomène du fondamentalisme islamiste et ses multitudes d’interdits.Notre pays est devenu maintenant la proie de cette morale islamiste qui condamne absolument tout ce qui n’est pas « halal » : la femme non totalement couverte, la mixité, les comportements « impudiques », les couples non légitimes, l’amour hors mariage, l’égalité des sexes, le plaisir pris par les femmes...Les personnes qui, comme moi, veulent vivre pleinement leur sexualité « anormale », n’ont plus aucune place dans ce pays. Du moins aucune place qui soit en évidence. Elles doivent pratiquer intensivement l’hypocrisie sociale : avoir un comportement apparent, conforme aux règles sociales en vigueur, pour ne pas s’attirer les foudres des gardiens barbus du temple et vivre, en ...
... cachette, une vie dissolue, répondant mieux à leur nature profonde.Ma sexualité « anormale » consiste à croquer, comme une affamée, la pomme de la vie, guidée par mes seuls fantasmes érotiques et ceux de mon mari.Pour moi, il s’agit d’assouvir mes besoins sexuels tyranniques (à la limite de la nymphomanie) et prendre le maximum possible de plaisir, sous les coups de boutoir d’amants bien montés, super résistants et infatigable dans la pratique de la « chose ».Pour Karim, mon mari, qui m’avait mis le pied à l’étrier de l’érotisme débridé, il s’agit essentiellement de prendre des tonnes de plaisir à nous regarder, mes amants et moi, baiser et jouir comme des bêtes. Et aussi, parfois, à participer à nos ébats.Depuis que mon mari Karim m’avait annoncé son candaulisme et m’avait poussée à prendre des amants, à lui raconter tout le plaisir que je prenais entre les bras d’autres hommes et à le faire participer à mes ébats, soit en tant que spectateur, soit en qualité d’acteur, j’ai vécu une vraie vie de rêve. Une vie complètement dédiée au sexe et à l’érotisme.Nous avons eu, Karim et moi, au début de notre relation, de longs moments de parfait bonheur et d’extase. Nous nous sommes toujours énormément aimés. Pendant longtemps, le couple que nous formions s’était suffi à lui-même. A aucun moment, nous n’avions eu besoin d’un « complément » pour assouvir notre besoin de jouissance et d’orgasmes. Tout se passait parfaitement entre nous, y compris en matière de sexe où nous atteignons ...