1. Ma tante de 45 ans est sublime (17)


    Datte: 08/11/2017, Catégories: Inceste / Tabou

    ... qui j’étais. Elle m’avait connu tout gosse pour maintenant se retrouver nue sur moi. Je lui avais fait la bise sur chaque joue quand elle venait nous voir, dorénavant je glissais ma langue à l’intérieur de sa bouche savoureuse. Je l’avais appelée Tatie Chantal et désormais je l’appelais ma chérie. — Jean, ça va ? — Oui. Répondis-je revenant à la réalité. — J’aimerais que tu me baises comme tu sais le faire. — Alors allonge toi. — Avec plaisir mon seigneur ! — T’es une sacrée Tatie... — Tu peux parler petit vicelard ! — Attends un peu ma belle. Chantal mît fin à son rodéo et s’allongea en s’étirant. Dieu qu’elle fut éblouissante ! Je la saisis par les hanches, elle souleva son bassin et ma verge reluisante se mît à la conquête de la belle chatte de ma tante chérie. Ce ne fut qu’une pure formalité pour la pénétrer à nouveau, Chantal m’offrit ses lèvres et j’imprimai un rythme endiablé tout en nous embrassant comme deux fous. Très vite elle se crispa parcourue par une onde de plaisir, ce ne fut que le commencement. Mes mouvements me firent l’impression d’une marée montante, mes coups de reins s’assimilèrent à ces grandes vagues déferlantes venant agoniser sur le sable fin, leur écume faisant office d’un squelette éphémère. Je déferlai ainsi dans le corps de ma tante, caressant sa chevelure blonde pour mourir en elle. De vagues en vagues, Chantal lâcha prise dans de longs gémissements. J’enveloppai ma belle partenaire pour la protéger de la lame de fond se réveillant au fond ...
    ... de moi. Je fus submergé de frissons et mes va et vient en elle se firent rapides, assommants, étourdissants. Je pénétrai ma tante à tout va, je la transperçai, la poignardai. Elle me serra contre elle, la bouche ouverte, haletante tout en recevant mes saccades ininterrompues. Je sentis ma semence se fondre en elle, se disperser dans tout son corps en ébullition. Son corps m’appartint durant ce moment, mes mains caressant ses hanches, son ventre, son buste à la poitrine en feu. Elle aussi me caressa comme elle put, ses mains se dispersant le long de mon dos. Nous jouîmes l’un dans l’autre et Chantal n’eut plus la force de faire la moindre contraction, emportée par son orgasme. — Oooh oui ! continue mon bel étalon, continue à baiser la sœur de ta maman ! — Je l’aime cette sœur. — Ouii elle est à toi, elle est ta chose ! continue de baiser cette petite sœur qui t’a fait tant fantasmer. — Oui je te baise petite sœur. — Profite de sa chatte toute ouverte pour toi ! enfonce-toi bien dedans mon amour ! Après ces mots crus et quelques minutes pour retrouver nos esprits, j’embrassai une dernière fois ma tante et je me retrouvai à ses côtés, épuisé tout comme elle. Elle vint, câline, poser sa tête sur mon torse en me caressant machinalement, ne pensant à rien, appréciant le long moment de nos ébats incestueux. Je caressai à mon tour son formidable cul, mes mains suivant les courbes de ses fesses bien fermes, bien attrayantes et nous éteignîmes la lampe de chevet. Chantal toute joyeuse ...
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