Douce France
Datte: 11/06/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
jalousie,
Masturbation
facial,
Oral
pénétratio,
fsodo,
coprolalie,
attache,
fouetfesse,
confession,
couple,
Résumé de l’épisode précédent :«Des hauts et des bas »L’auteur raconte sa relation tumultueuse avec Karen, sa « petite Anglaise » délurée et secrète qui vit à Londres. Fasciné par l’appétit sexuel peu commun de la demoiselle, il finit par accepter une relation qui ne le satisfait pas totalement, mais il découvre qu’il commence à éprouver du plaisir à fantasmer sur les libertés qu’elle s’accorde. Après plus d’une année de va-et-vient, Karen accepte enfin de venir vivre en France. _________________ Dès son arrivée en France, Karen s’inscrivit à des cours de salsa, sans me proposer de m’y inscrire avec elle. Elle savait que je n’aimais pas danser ; «Mais tout de même,m’étais-je dit,elle aurait peut-être au moins pu me soumettre l’idée. Mais non… » J’avais pensé que c’était sans doute une façon d’affirmer son indépendance, mais je ne pus m’empêcher de trouver ça curieux. Sur le ton de l’humour, je lui fis la remarque. Je lui dis qu’elle avait bien raison, que la salsa c’était une bonne idée, qu’il devait y avoir des petits mecs pas mal là-bas et que je comprenais qu’elle préfère y aller sans moi. Pleine d’humour elle aussi, elle m’avait répondu que j’avais en effet tout compris, que c’était uniquement pour ça qu’elle s’y était inscrite. J’encaissai la remarque et lui demandai juste de me tenir informé si « la pêche était bonne ». Elle promit de le faire. Sauf que du coup, chaque fois qu’elle allait à la salsa, je me demandais ce qu’elle y faisait vraiment. Y allait-elle ...
... uniquement pour danser ou, comme elle l’avait dit, avec une idée derrière la tête ? Y rencontrait-elle d’autres hommes ? Est-ce qu’elle me cachait quelque chose ? Et quand elle s’absentait seule en ville pour faire des courses le samedi, pendant parfois deux ou trois heures, allait-elle vraiment faire des courses ? Et quand c’est moi qui m’absentais tout le week-end pour aller voir des potes ou de la famille à plus de deux cents kilomètres de chez nous… ? Je réalisai bien vite que s’installer sous le même toit n’avait pas réglé mon problème. Ça semblait plus profond et je recommençais à gamberger sérieusement. Pour masquer ma jalousie, en faire une sorte de jeu, de badinage léger, je prenais l’air le plus détaché possible pour tenter de glaner quelques informations. Quand nous faisions l’amour, je lui demandais parfois des nouvelles de la salsa, si elle trouvait que « la pêche était bonne ». Mais non, décidément, malgré tous ses efforts, elle n’était pas en veine. Elle était bien obligée de se « contenter de moi ». Elle me taquinait, mais je n’avais pas oublié ce qu’elle m’avait fait subir au début de notre relation. Je n’avais pas oublié qu’elle avait été capable, sinon de me mentir, au moins de me cacher des choses, et pendant assez longtemps. Je n’avais pas oublié qu’elle affirmait faire une nette différence entre sexe et amour et je la savais capable de mener une double vie.« Qui a bu boira ! », me disais-je. Alors, avec ce genre de réflexions qu’elle me faisait, quand elle disait ...