Liaisons dangereuses (17) - Histoires de Sexe

Liaisons dangereuses (17)

Je me sauve à mon tour du box, en prenant moins de précautions que Marion pour en sortir, puis je me dirige vers le salon. J’y trouve une vieille dame assise là où je l’étais auparavant, elle n’est pas étonnée de me voir ici, après tout, ce salon fait aussi les soins pour homme. je la salue poliment et me dirige vers le comptoir derrière lequel se trouve Denise, assise les jambes croisées sur un tabouret de bar. Elle m’accueille avec un grand sourire. — Alors, tout s’est bien passé ? Me demande-t-elle le plus naïvement du monde ; — Oh oui, parfaitement bien !! lui répondis-je avec un enthousiasme non dissimulé ; — Je t’avais bien dit qu’elle avait des mains en or, non ? — J’avoue, et on est même en-deçà de la vérité !! Denise part d’un rire sonore puis s’adresse à la cliente assise derrière nous. — Hein Madame Morel, n’est-ce pas que Marion a des mains en or ?? — Houuuuuuu oui, elle est formidable cette petite, un vrai petit ange !! répond la vieille dame avec un accent marseillais à couper au couteau. Nous rigolons tous les trois quand Marion finit par apparaître en remettant de l’ordre dans ses cheveux. Elle ne porte plus son petit top et est vêtue à la place d’une blouse longue. Son visage est encore vaguement empourpré mais elle sourit franchement, saluant avec affabilité Madame Morel. — Ça va ma chérie ? Demande Denise à Marion ; — Oui super, merci !! répond-elle gaiement. Elle finit par croiser mes yeux et je lui souris tout aussi franchement qu’elle. Elle soutient ...

... mon regard quelques secondes, étirant un peu plus ses lèvres, puis elle se dirige vers Denise. — Tout s’est bien passé avec Madame Guillestre ? Lui demande-t-elle ; — Oui, très bien, et comme je l’avais prévu, elle n’a pas arrêter de bavarder !! — D’accord, répond Marion en lançant un petit rire ; — Tu peux t’occuper de Madame Morel ? — Oui, avec plaisir !! Vous venez Madame Morel ? La vieille dame suit Marion et les deux femmes finissent par disparaître dans le couloir. Je me retourne à nouveau vers Denise. — Alors ? Me lance-t-elle ; — Et bien…. C’est une vraie bombinette cette nana !!! — Ahahah, je savais qu’il se passerait autre chose que le massage, je la connais par cœur cette minote !! — Heuuu…. C’est toi qui lui a demandé d’aller plus loin avec moi ? — Mais pour qui me prends-tu, une maquerelle ?? dit-elle en prenant un air faussement offusqué ; — Non, non, loin de moi cette idée !! C’est juste qu’avant de venir dans le box, elle était très gênée, puis quand elle est apparue devant moi, elle paraissait bien plus sereine, presque contente, c’est pour ça que je me pose la question sur ce qui a provoqué ce changement d’attitude ; — Et tu penses que si je l’avais obligé à te donner son corps, elle aurait été plus à l’aise ? — J’imagine que non…. — Et bien voilà, tu as ta réponse !! En fait, avant qu’elle n’aille te rejoindre, je lui ai dit qui tu étais, que c’était de toi dont on s’était occupé toutes les deux l’autre fois. À partir de ce moment, elle était déjà bien plus ...