Coralie, ma colocataire
Datte: 11/06/2021,
Catégories:
ff,
Masturbation
Oral
fgode,
jeu,
init,
... de fusil contre moi. Elle avait plaqué son pubis contre ma jambe. Sans doute avait-elle eu du mal à s’endormir dans l’état d’excitation dans lequel je l’avais laissée. Peut-être avait-elle eu terriblement envie de faire pipi. Se comprimer la vulve contre mon genou avait dû seulement la soulager. Mais cela ne m’énerva pas. Au contraire, je trouvais ça attendrissant. Rien ne l’aurait empêchée de se lever et d’aller aux toilettes ou d’aller se masturber dans sa chambre. Mais elle avait préféré rester là, contre moi. Cela m’excitait et je me mis à onduler du bassin contre elle, tout en lui caressant les cheveux. Ma jambe frottait doucement son pubis, la réveillant doucement. Elle gémit, mais n’osa pas se réveiller complètement de peur de mettre fin à cette caresse qu’elle avait l’air d’apprécier. — Tu m’as beaucoup fait jouir hier, sais-tu ? Tu avais déjà sucé une femme ? Moi je ne pourrais pas. C’est trop dégoûtant. Elle ne répondit pas. Elle rougit, trahissant le fait qu’elle m’entendait. J’augmentai le mouvement de ma cuisse contre son sexe tandis qu’elle écarta légèrement les siennes. Elle faisait semblant de se réveiller doucement, comme si rien ne se passait, mais en même temps elle répondait à mon mouvement par les pressions de son bassin. — Tu as bien dormi, me demanda-t-elle, ingénue ?— Très bien, lui dis-je, continuant mon manège. Et toi ? Tu as l’air fatiguée !— Non, non… je t’assure… très bien dormi… ahana-t-elle en mentant. Son corps semblait fourbu et courbaturé. ...
... Les traces des plis de ma veste s’étaient imprimées sur sa joue. Sa frustration avait l’air de gagner sur sa patience et son bassin ondulait sur ma jambe en une lente masturbation.— Tu as pu trouver une bonne position ?— Oui… Oui… dit-elle en continuant à se frotter contre moi.— Tu n’as pas envie de faire pipi ?— Non, ça va… continua-t-elle à mentir. Je t’assure… Reste encore un peu… Je me réveille doucement…— Petite hypocrite, tu te branles sur moi n’est-ce pas ? Choquée par le changement de ton, elle ouvrit grand les yeux, l’air étonné. Elle comprit dans mon regard qu’elle pouvait cependant continuer. Sans doute n’aurait-elle pas pu s’arrêter de toute façon. — Vas y branle-toi petite chatte. Branle-toi sur la jambe de ta colocataire. Il le faut bien, puisque tu es si excitée. Fais-toi jouir, petite gouine. Tu m’as bien eue hier soir, hein ? Tu as eu ce que tu voulais, n’est-ce pas. Elle était bonne la viande de Minora ? Mes mots la choquaient. Elle me regardait affolée mais ne pouvait pas s’empêcher de continuer de s’exciter comme un animal sur ma cuisse. Je la regardai fixement et durement l’air vaguement dégoûtée. Peut-être cela contribuait-il à l’exciter malgré la honte. Elle s’agitait de plus en plus fort. Elle n’allait pas tarder à jouir. Je la rejetai alors brutalement, la renversant sur le côté et me levant prestement. — Allez, soulage-toi toute seule. Tu as bien droit à un peu d’intimité pour faire tes cochonneries. Tu es si pudique parait-il… Fais-toi bien jouir, que ...