Berlin
Datte: 12/06/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Lesbienne
... mon corset, Béa. Je comprends son clin d’œil en voyant les cassettes que j’avais prises. Elle est sublime, un corps de rêve. Elle est en compagnie d’une autre femme que je ne reconnais pas. Toutes deux entreprises et soumises à cet homme que je qualifie de merveilleux par ses gestes, ses tenues, son élégance naturelle. Le gentleman de la domination, le virtuose du SM, c’est ainsi que je le qualifie. Je me branle tout au long de ce film. Je m’épuise en orgasmes violent, démoniaque, merveilleux et si tellement dévastateur.La troisième cassette maintenant, là, c’est nettement plus soft. Une femme domine une autre femme, tout de ce film n’est que douceur sensualité et tendresse. Enfin, ce n’est un film à l’eau de rose non plus, mais quand même. La dominatrice y attache sa compagne soumise, cela se passe dans un bel appartement cossu. La soumise se voit obligée de lécher délicatement les pieds gainés de soie de sa dominatrice. Cette dernière flatte le cul de sa docile soumise de petit coup de cravache. Je me branle encore en voyant la soumise et la dominatrice jouir de concert, l’une avec un énorme vibromasseur dans son sexe, la dominatrice jouit des coups de langue de sa docile servante. Je ne peux plus détourner mon regard de ces images qui défilent devant moi. Je me vois, je m’imagine à la place de cette soumise, non pas que je sois lesbienne, mais à cause de la douceur de cette soumission. Vers la moitié du film, la dominatrice muselle sa servante, lui met une laisse, une ...
... grande cape noire sur son corps nu. Elles sortent dans la rue. Mon dieu, juste dans ce fameux quartier, devant ce petit bistrot où j’avais bu un thé. La soumise se voit encore affublée de menottes à ses poignets et dans le dos. À ses chevilles, une autre paire vient entraver sa marche. Je jouis encore de voir la domina ouvrir la cape devant une vitrine de lingerie fine en disant à sa soumise, comme pour la narguer, l’humilier davantage, qu’elle ne portera plus de dessous aussi sexy à l’avenir. Un dernier orgasme me dévaste quand, au milieu d’une petite place, devant un d****au arc-en-ciel, la dominatrice retire carrément la cape des épaules de sa soumise. La laissant tombé au sol, elle oblige sa victime à se mettre à genou pour la ramasser. J’éteins tout, je suis morte, je m’allonge sur mon lit sans repasser par la salle de bain. Fermant mes yeux, je m'imagine vivre dans ce quartier. Je rêve que cet homme m'entreprenne ave ses galants gestes devant Béa obligée de me lécher la motte.Et puis boum, je me réveille, en milieu de journée, le cul parterre, la chatte détrempée de mouille, le corps tout en sueur. Que m'était-il arrivé ? Aussi, je retourne dans cette boutique sans perdre une seconde. Je veux rencontrer cet homme, lui poser des tonnes de questionS. Malheureusement pour moi, si Béa, la vendeuse, celle du film, est bien là, lui n’y est pas. Alors, dans un coin, bien à part, je la questionne enfin, pour de vrai, je lui fais subir un véritable interrogatoire, presque policier. ...