1. Un Samedi Ordinaire


    Datte: 12/06/2021, Catégories: Gay

    « Salut les garçons! » La voix joviale emplit l'appartement aux volets clos, comme tous les samedis. Elle enlève ses chaussures à côté de la grosse paire de bottes de moto et des chaussures plus légères de son amoureux, pose son sac, « Vous avez passé une bonne après-midi? ». Du salon, plongé dans une semi-pénombre et que semblent n'éclairer que quelques bougies, des sons étouffés lui viennent, puis une réponse. Comme d'habitude, c'est la voix profonde de Nick : « Salut Cléa! Ca va et toi? ». Ne l'accompagnent que quelques bruits sourds. Rien de surprenant. « Ca va, j'ai passé un bon samedi. Et vous? ». Nick murmure quelque chose et s'esclaffe franchement, une claque résonne dans l'appartement, « Ca va. Quelqu'un s'est encore fait prier mais ça n'a pas duré, pas vrai? », il rit encore. Alors qu'elle entre dans le salon/chambre qui compose la moitié du grand loft, le bruit régulier qui accompagne tous ses retours du samedi après-midi l'accueille. Un bruit de grincements, de gémissements étouffés de son amoureux, du souffle rauque de Nick, de claquements de chair dure sur de la chair tendre, de chaînes bien huilées et tendues. Le bruit des garçons qui jouent. Elle sourit. Dans un coin de la pièce, éclairé par de nombreuses bougies, Nick a mis Léo sur le ventre, les mains serrées par ses menottes. Les deux forment un contraste saisissant. Nick, tout en muscles et en poils, solide et carré, imposant, et Léo, rond et grassouillet, pâle. Le premier, libre, profondément fiché ...
    ... dans le second, attaché et bâillonné, à sa merci. Cléa s'assied dans un fauteuil profond et regarde un instant son cher amour se faire sauter comme une garce, le rituel du samedi après-midi pendant qu'elle sort au sport. Nick, badin, continue sa discussion comme si de rien n'était, ignorant Léo cambré et plein de sa considérable virilité, s'agitant sous ses yeux : « Tu es fatiguée? J'ai amené des tartelettes si tu veux ». Elle le remercie et en prend une, tout en défaisant sa combinaison et annonçant qu'elle va prendre un bain, comme tous les samedis. Sur le lit, Nick défait d'un geste expert les menottes du sommier tout en gardant Léo fermement attaché, et le fait basculer en amazone, guidant ses hanches le long de sa verge. Le jeune homme obéit docilement : Nick s'allonge sur le dos, la verge dressée, et il vient l'enfourcher, cuisses écartées et humides, avant de se mettre à onduler lascivement sur sa bite : « C'est bien, chou, montre nous comment tu travailles ta souplesse, vas-y ». Elle se demande comment il fait pour prendre tant de chair d'un coup. Elle a essayé de coucher une fois ou deux avec Nick, mais elle ne prend pas de plaisir à ses proportions trop démesurées pour elle. Elle mord dans la pâtisserie sucrée et pose un baiser collant sur le front trempé de sueur de Léo, qui continue de gémir désespérément, avant de se glisser dans la salle de bains. Quelques minutes plus tard, sa tartelette avalée, une cigarette à la main, et de la mousse jusqu'au menton, elle se ...
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