1. Alex et Sylvain


    Datte: 12/06/2021, Catégories: Lesbienne Anal

    ... et il m’a répondu que c’était pour « monter en grade » au boulot, pour pouvoir prendre les commandes des clients et se servir de la caisse enregistreuse. Brave type, pensais-je. C’était tout à son honneur. Je ne pouvais m’empêcher d’avoir de l’empathie pour cet homme, il devait avoir la quarantaine, il travaillait comme commis d’une cuisine de fast-food depuis pas mal de temps, d’après Cédric. Il n’était pas ce qu’on pouvait appeler, un bel homme. Il devait faire 1,70 m, tout au plus, mal habillé, ventru, et pas hyper intelligent, d’après ce que j’avais cru comprendre. Je n’allais pas avoir affaire à un homme à femmes, apparemment. Tout en parlant de banalités, je le détaillais physiquement, donc. Je dois admettre, à son crédit, qu’il était plutôt soigné : certes, pas très bien habillé (t-shirt publicitaire d’une quelconque marque de bière), jean trop large pour lui, baskets blanches pas très à la mode, mais il était propre. Il avait les mains assez soignées, il sentait l’eau de Cologne et avait coiffé le peu de cheveux qu’il lui restait, ce qui lui donnait une allure « passe-partout », malgré ses lunettes épaisses et sa barbe mal rasée. Il ne correspondait pas aux canons de la beauté en vigueur, mais il n’était pas repoussant pour autant non-plus.Lui, de son côté, ne se privait pas de me détailler, en revanche. Consciemment ou non, j’avais malgré tout fait un effort pour apparaître jolie ; je m’étais maquillée, coiffée, j’avais mis une robe blanche courte au niveau des ...
    ... cuisses et assez décolletée et, détail, je l’avais reçu pieds-nus. Je sais que ça peut paraître sans importance, mais j’avais remarqué que pour les hommes, ça ajoutait une touche sexy à l’allure d’une fille, ça dévoilait une partie du corps et ça laissait sur une légère impression de nudité. Fait exprès ou pas, il me matait plus ou moins indiscrètement et je sentais que j’avais le dessus sur cet homme, et ça m’excitait…Je l’ai rassuré sur la teneur du cours, en lui proposant quelques exercices de lecture pour commencer. Je voulais qu’il se sente à l’aise, sinon, il arrêterait tout et n’approcherait jamais la caisse enregistreuse, synonyme de progrès social pour lui. Je me découvrais des talents de pédagogue et je le voyais faire des efforts pour comprendre la grammaire, la conjugaison, la syntaxe des phrases que je lui soumettais. C’est ainsi que les deux heures passèrent rapidement et que le cours se termina sur les exercices que je lui donnai à faire pour son prochain cours. Il me demanda si ça allait encore être moi qui lui donnerait cours, mais non, nous étions une vingtaine d’étudiants inscrits à ce programme et nous fonctionnions en tournante. Je le rassurai en lui disant que je transmettrais ses exercices du jour et le contenu de ce qu’il allait devoir préparer à son prochain prof’. Là, il m’a timidement demandé que le fait qu’il prenne des cours d’alphabétisation reste entre nous, que je n’en dise pas un mot à Cédric. Il ne voulait pas que les autres se moquent de lui. Il ...
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