1. L'attente


    Datte: 12/06/2021, Catégories: f, ff, jeunes, asie, frousses, rousseurs, Collègues / Travail douche, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, strip, photofilm, Masturbation

    Résumé : Tout excitée de découvrir le monde de l’opéra, je ne m’attendais pas à tant d’émotions pour mon premier jour. Lors des essayages des costumes, j’ai été troublée par le corps de la rousse Sarah, et le regard de Magali, l’habilleuse. De retour chez moi je raconte ma journée à ma coloc, et je m’endors dans son lit… ********** — Ouch ! J’ouvre les yeux en même temps que je chois du lit de Camille qui vient de me pousser de ses pieds ! — Allez, réveille-toi, grognasse, ton réveil sonne depuis 15 min dans ta chambre, alors tu te bouges ! Moi, je veux dormir ! Elle remet l’oreiller par-dessus sa tête en continuant à grogner. Je regagne ma chambre avec peine, je tape sur le réveil, et me jette sur mon lit… Je me rendors… — Allez, bouge-toi, Charlotte, tu vas être retard Le son de la voix de Camille étouffé par l’oreiller et la distance me sort de mon endormissement. Je regarde l’heure… Il me reste 15 min, j’ai juste le temps de m’habiller et de filer en courant vers l’opéra, tant pis pour la douche. Je fouille dans mon tas de culottes pour en trouver une propre. Je trouve un petit string noir qui fera l’affaire, pas le temps de trouver de soutien-gorge assorti, de toute façon il fait chaud, alors je m’en passerai. Une petite robe d’été sur un cintre me fait de l’œil, et surtout me semble la solution la plus rapide. J’attrape ma partoche, mes clés, une tranche de brioche sur la table de la cuisine, et je pars en courant. Sur le chemin de l’opéra je réalise tout à coup ce ...
    ... que je viens de faire. Je vais me retrouver face à Sarah sans m’être lavée, et après avoir passé une nuit à la « rêver si fort que les draps s’en souviennent ». Plus le temps de faire demi-tour, il va falloir assumer. J’arrive essoufflée à l’entrée des artistes, j’essaie de reprendre mon souffle dans les escaliers, j’en oublie de m’arrêter au bon étage, et je me perds une fois de plus dans les couloirs… Je finis par trouver la salle Ravel… en même temps que Jérôme. Encore une fois tout le monde se lève à notre arrivée, et les regards curieux d’hier deviennent des regards entendus. Et quand je réalise ce qu’entendent ces regards, je panique en cherchant des yeux Sarah pour voir comment elle réagit à la nouvelle que je couche avec le chef de chœur. Je la trouve enfin, et quand je croise son regard, je comprends que la nouvelle qui l’intéresse vraiment c’est que je n’ai pas de soutien-gorge, et que ma petite robe noire est suffisamment moulante pour que ça se voie. Quand enfin ses yeux croisent les miens, je lui attribue un rapide sourire mutin, avant de m’asseoir discrètement pour commencer la répétition. J’ai souvent du mal à la quitter les yeux, et il m’est arrivé à deux reprises de louper un départ, parce que je ne regardais ni la partoche, ni le chef. Pendant la pause, j’ai enfin pu m’approcher d’elle. — Bonjour, Sarah, tu viens prendre l’air ?— Salut, Charlotte. Un peu troublées, ne sachant pas trop comment nous comporter, nous n’osons pas nous embrasser. Elle me suit, je ...
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