Les Vacances d'un futur ancien puceau (4)
Datte: 30/06/2017,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Plusieurs jours s’étaient écoulés depuis que Louane et mes parents s’étaient rencontrés, au bar de la piscine. Lorsque je leur avais présenté la jeune femme, mon père m’avait fait un clin d’œil discret. J’avais fait non de la tête en levant les yeux au ciel. Tous s’étaient rapidement mis d’accord sur la façon de procéder. Alors, l’après-midi même, ils se rendirent à l’accueil de l’hôtel et eurent rencontré l’agent de location de voitures. C’était une femme forte d’une cinquantaine d’années. Elle était habillée de vêtements arborant le logo de la compagnie Rent a Car. Ses cheveux étaient masqués par une casquette verte. Lorsque mes parents lui eurent expliqué qu’ils désiraient partager la location avec la jeune femme brune, l’agent de location ne vit pas d’inconvénients à la manœuvre. Mes parents et la jeune femme eurent alors loué une petite Subaru blanche deux places. Une fois les papiers signés, nous fumes allés trinquer au bar avant de nous diriger vers le restaurant de l’hôtel. Je conduisais la petite Subaru, Louane assise sur le siège passager. C’était notre dernier jour de location, alors nous eûmes décidé de nous rendre dans la ville de Palma afin de la visiter davantage. Sur la route, Louane et moi discutâmes de sujets plus ou moins crus bien que je dusse me concentrer fréquemment sur les routes. Après une petite dizaine de minutes de conduite, nous longeâmes un quai sur lequel plusieurs bateaux étaient amarrés. Cependant, ce n’étaient pas des bateaux ordinaires ...
... : il s’agissait de yachts. Une véritable forêt de yachts s’étendait sur toute la longueur des quais. Le plus petit d’entre eux coûtant vraisemblablement suffisamment cher que jamais je ne pusse espérer en acheter un pareil, je ne pus que rêver en regarder tous ces bateaux de luxe. Louane les regardait également, les yeux brillants de jalousie. — Qu’est-ce que j’aimerais vivre dans l’un de ces trucs, fantasma-t-elle. Mais ce serait trop beau pour être vrai. Nous sourîmes tandis que mes yeux alternaient entre la route et les quais. Puis, après les avoir observés attentivement, nous pûmes observer d’autres quais, un peu plus loin. D’autres bateaux étaient amarrés à ceux-ci, mais il s’agissait plutôt de petits bateaux. -Ça fait une sacrée différence entre les riches et les moins riches, commenta la jeune femme. -Ouais, répondis-je. Ceux-là ressemblent plus à ceux que je peux voir au Havre, -Alors tu viens du Havre ? me demanda la jeune femme. Moi, de Paris, ajouta-t-elle lorsqu’elle remarqua que je m’apprêtai à lui poser la question. Je souris tandis que nous passions devant plusieurs dizaines de petits bateaux flottant sur l’eau. Quelques minutes plus tard, je garai la voiture et nous sortîmes nous balader. Nous longeâmes la mer sans jamais nous y baigner : la plage était pleine au point que nous n’en vissions plus le sable chaud. C’était bien dommage, car, par cette chaleur, se baigner était comme une bénédiction. Nous continuâmes notre route en ignorant les bruits d’eau et ...