La première phase
Datte: 17/06/2017,
Catégories:
f,
ff,
ffh,
Collègues / Travail
fépilée,
piscine,
train,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
fdanus,
hdanus,
initff,
couple+f,
Le mercredi soir Divorcée depuis quelques années, je mène une vie tranquille entre mon fils de dix ans et mon travail de responsable de service dans une grande entreprise. Lors du long week-end de l’Ascension que mon fils passait chez son père, une collègue avec qui je m’entendais bien m’invita dans la maison de campagne de ses beaux-parents. Son mari devait la rejoindre là-bas après un court voyage à l’étranger. Nous partîmes en voiture le mercredi soir pour ce lieu qu’elle me décrivit : une grande maison isolée au milieu d’un parc, une vue magnifique et une piscine. À cette période de l’année, l’eau devait être bonne et tout s’annonçait pour passer un agréable moment. Après quelques heures de route, nous arrivâmes. Effectivement, le lieu était magnifique. Tout de suite après avoir sorti les affaires de la voiture, mon amie me proposa un bain dans la piscine. Je remontai me changer pour mettre mon maillot de bain : un string et un haut qui mettait en valeur ma poitrine. Je redescendis et vis mon amie déjà dans l’eau qui faisait quelques longueurs. Me voyant, elle s’arrêta et me dit : — Je ne t’ai pas attendue, j’avais trop envie de me baigner. L’eau est délicieuse. Elle nageait très bien. Je me mis à l’eau et nageai à ses côtés. Nous étions à peu près de la même taille et de la même corpulence, ce qui nous permettait de nager au même rythme. Après quelques longueurs, mon amie s’arrêta pour se reposer et s’assit dans l’eau sur les marches immergées. Je ne pus m’empêcher de ...
... la regarder. Je la découvris entièrement nue. Elle était très mignonne avec ses seins en forme de poire bien bronzés, des jambes bien faites. Mon regard arrivé à hauteur de son sexe, je le découvris pratiquement nu avec uniquement un petit carré de poils très bruns au-dessus de la fente. Quelle beauté ! Jamais, je n’avais pensé qu’un sexe de femme me ferait tant d’effet. J’avais l’habitude de m’épiler le maillot mais je n’avais jamais pensé à ne laisser que trois fois rien. Troublée, je refis un aller-retour. En revenant vers elle, je la vis en face de moi, les jambes légèrement écartées. Son sexe était très visible, une fente nette surmontée d’un petit monticule qui cachait son clitoris. Mon émoi grandit et mes pointes de seins dardèrent sous mon maillot. Je m’assis à ses côtés. Nous discutâmes de tout et de rien. Elle me dit que si cela me tentait, je pouvais aussi nager nue, que cela ne la gênait pas. Au contraire, rajouta-t-elle, son mari et elle vivaient la plupart du temps ainsi dans leur maison. Cela me troubla car je n’avais pas l’habitude de parler de ça. Elle me dit aussi que son mari lui manquait et qu’elle avait hâte d’être au lendemain soir pour qu’il arrive. Elle me demanda si vivre seule était un choix. Je lui répondis que depuis que mon mari m’avait quittée je n’avais trouvé personne qui me plaise suffisamment pour avoir envie d’avoir une relation durable. Elle voulut plus d’explications. Je lui dis qu’en fait, j’aimais toujours mon mari mais que j’avais reçu ...