1. Expériences homosexuelles


    Datte: 13/06/2021, Catégories: ff, fff, hh, fsoumise, fdomine, hdomine, Oral donjon, attache, yeuxbandés, fouetfesse, sm,

    ... les yeux. Léa soutient le regard. — Baissez les yeux ! Léa baisse les yeux. Alors la femme passe sa main entre ses cuisses et, sans aucune précaution, pénètre deux doigts dans son sexe. Elle fait mal à Léa qui se raidit. — Allons mignonne. Votre Homme vous a confiée à moi pour que je m’occupe de vous. Vous êtes là pour être dressée, n’est-ce pas ? Léa reste silencieuse. — J’ai posé une question !— Vous me faites mal…— J’ai posé une question, hurle Mathilde. Je veux une réponse. Et elle enfonce ses doigts encore plus profondément. — Oui, Madame.— Maîtresse !— Oui, Maîtresse ! La femme la lâche. Mais se saisit aussitôt des tétons de ses deux seins et les fait tourner entre ses doigts. Léa ne peut retenir un cri de douleur. — On va bien s’amuser, ma petite. Allez, les filles, en voiture. Elles se serrent toutes les trois à l’arrière, Léa au milieu. Mathilde jette les vêtements dans le coffre. Le temps qu’elle fasse le tour de la voiture pour s’asseoir derrière le volant, Éléonore souffle à ses amies : — Ne vous inquiétez pas. Je la connais bien, elle est douce et gentille. Elle aboie plus qu’elle ne mord… Mais cela ne rassure pas Léa. Elle a peur de la suite. Elles a peur aussi de se retrouver ainsi, nue dans une voiture en pleine rue. Elle a beau savoir que de l’extérieur, avec les vitres fumées, personne ne peut deviner ce qu’il y a à l’intérieur. Mais elle, elle voit. Et s’ils étaient arrêtés par la police pour un banal contrôle ? Et s’il y avait un accident ? En même ...
    ... temps, elle se sent rassurée, assise entre les deux jeunes filles. Elle aime sentir leurs cuisses nues contre les siennes… De plus, Éléonore qui a dû sentir sa tension, essaie de la rassurer en posant sa main sur sa cuisse… La circulation est fluide en ce dimanche midi. Rapidement, elles sont sorties de Paris et roulent en banlieue. La voiture tourne plusieurs fois à droite, à gauche… Elle traverse maintenant une zone pavillonnaire. Et la voiture rentre dans une cour et s’immobilise devant le perron d’une grande maison. Mathilde descend de la voiture, va ouvrir la portière arrière. — Allez ! Fin du voyage. Descendez. Éléonore, vous montrez le chemin. À la cave, bien sûr. Les trois femmes sortent précipitamment de la voiture et grimpent non moins rapidement les quelques marches du perron, de peur que quelqu’un les aperçoive. Éléonore les entraîne à travers un long corridor puis descend un escalier sombre en colimaçon. Léa et Anne marquent un temps d’arrêt en arrivant en bas. Une grande salle voûtée s’ouvre devant elles. Des chaînes pendent des murs, des cordes… Des anneaux aux murs… Une vieille table de gynécologue au milieu… Des fouets, des cravaches, une collection de godemichets sur une étagère et autres instruments bizarres dont des pinces, des tenailles, des instruments de torture… L’angoisse les étreint. Léa repense à la salle de torture vue hier soir chez le Baron. Mais elles n’ont pas le temps de s’attarder et de se poser des questions. Mathilde les pousse à l’intérieur… — ...
«12...567...12»