Expériences homosexuelles
Datte: 13/06/2021,
Catégories:
ff,
fff,
hh,
fsoumise,
fdomine,
hdomine,
Oral
donjon,
attache,
yeuxbandés,
fouetfesse,
sm,
... droit… Éléonore se crispe… La femme s’attarde puis change de sein… Léa voit les muscles des cuisses bander, ses lèvres, ses fesses s’ouvrir et se resserrer… La femme bourreau fait glisser la pointe sur le ventre, les côtés de la fille… Qui a des mouvements de recul, de résistance, autant que ses entraves le lui permettent… Lentement la femme contourne la jeune fille et pose maintenant le bout de la tige sous une fesse qui se contracte… Puis sur l’autre… Puis elle la fait pénétrer dans le sillon et la fait glisser lentement de haut en bas… Puis de nouveau… Plusieurs fois… avant de l’enfoncer dans l’anus… d’y aller et venir… Éléonore est toute crispée… Elle gémit à travers son bâillon… Est-ce de la douleur ou éprouve-t-elle du plaisir. Inquiète mais aussi fascinée, Léa voudrait bien le savoir. Mathilde s’est remise devant, un genou au sol pour mieux voir ce qu’elle fait… Comme Léa l’avait imaginé, la pointe électrique s’accapare maintenant du sexe. Elle fait lentement le tour des grandes lèvres avant de tourner autour du clitoris puis de se poser dessus en y imprimant de minuscules petits cercles… Tout le corps de la fille n’est que tremblements, crispations… Elle crie à travers son bâillon… Un premier jet de cyprine arrose le visage de Léa. Puis un autre… L’objet reste en place, insiste… Éléonore n’est plus que fontaine… Elle crie, elle gémit, elle se contorsionne… Léa est trempée de la cyprine. Elle ouvre la bouche, l’étale sur son corps avec les mains… Mais tout s’arrête. ...
... Mathilde fait tomber son instrument de torture par terre, s’approche d’Éléonore et la prend dans ses bras, la caresse sur tout le corps… La jeune fille retrouve sa respiration petit à petit. — Allons, Léa, debout ! Venez ici, face à vos amies. Vous êtes la seule de nous quatre à ne pas avoir encore joui, mais ne vous inquiétez pas, ça va venir. Et elle entreprend d’attacher Léa comme le sont Anne et Éléonore ; les bras en croix au-dessus de la tête attachés à des cordes descendant du plafond, jambes écartées maintenues par une barre métallique. Mathilde s’approche d’Anne, enlève son bâillon et en couvre les yeux. Elle fait de même avec Éléonore et va chercher une autre bande de tissu dont elle couvre les yeux de Léa. — Je vous laisse un instant. Ne vous échappez pas, surtout. Et les trois femmes l’entendent sortir de la cave et monter les escaliers… — Ça va Éléonore ?— Oui, ça va bien… Et toi Léa ?— Ça va ! Mais elle me fait peur, cette femme… Elle est folle !— Mais non, elle est gentille. Elle fait un peu brutale mais vous ne la connaissez pas. Elle peut être douce aussi…— Mais elle t’a fait mal avec son bâton électrique…— Au début c’est un peu désagréable… Mais après, c’est un plaisir énorme, tu peux pas savoir… À chaque fois j’ai des orgasmes comme je n’ai jamais eus autrement… Tu en sais quelque chose, tu étais aux premières loges et je t’ai copieusement arrosée ! rigole Éléonore. Anne intervient dans la conversation : — Moi elle me fait peur aussi.— Mais non. Pourquoi ? Et ...