Une initiation en douceur
Datte: 13/06/2021,
Catégories:
f,
ff,
vacances,
telnet,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
BDSM / Fétichisme
piquepince,
... C’est lui qui t’a appris tout ça ? Je m’installais dans le canapé et elle vint s’asseoir à côté de moi.— Plus ou moins, il m’a surtout appris à me laisser aller et à faire ce qui me plaît.— Dis-moi, c’est la première fois que tu caresses une femme ?— Oui, je n’avais pensé à ça avant, mais je crois que j’aime donner du plaisir, même si ce n’est pas sexuel.— C’est réussi, jamais je n’ai passé un tel moment. Tu as vraiment change, jamais je n’aurais imaginé que tu poserai un baiser sur mes seins… aussi … naturellement.— Je ne me reconnais pas moi-même, c’est pour ça que je ne veux pas brusquer les choses. Nous discutâmes encore un bon moment puis Anne me dit qu’elle avait besoin de se reposer, nous nous levâmes. J’étais devant elle, la robe déboutonnée laissant voir mon corps, elle s’avança vers moi et déposa un doux baiser sur mes lèvres avant de monter. Et de rentrer dans sa chambre. Je montais moi aussi totalement détendue et ne tardais pas à m’endormir. Je me réveillais tôt le matin, j’avais rêvé de Marjorie, j’étais debout, nue, au milieu de son magasin, elle était en face sur moi et fixait des pinces sur mes tétons, ça faisait un mal de chien, elle les vissait toujours plus, je la suppliais d’arrêter, tombant à genou devant elle. La douleur me réveilla en sursaut, la main sur un sein. J’avais du me pincer durant mon rêve, je n’osais pas regarder sur la table de nuit où Anne avait laissé la pince qu’elle avait trouvée parterre. Je savais pertinemment que je ne pourrai ...
... résister. Je descendis aux toilettes, puis passais mon visage sous l’eau froide. En remontant je pris mon téléphone, des messages avaient été laissés. Des photos plus exactement… Mes seins, ma bouche, mon sexe, mon anus, mes doigts. J’étais mal à l’aise… et en même temps excitée. Je prenais une des pinces et la plaçait sans serrer sur mon clitoris. Je pris une photo que j’envoyais à Marjorie. Le téléphone ne tarda pas à sonner. — Alors on s’amuse avec ses jouets ?— Anne est endormie ?— Je pense. Mais je ne peux pas parler trop fort… je ne veux pas la réveiller.— Alors sors, trouve un endroit ou nous pourrons parler.— D’accord— Et n’enlève pas ton bijou !— Oui. Et je sortis, il faisait frais, presque froid et je gagnais rapidement l’appentis.— Alors raconte moi tout. Je veux savoir comment elle est, si elle embrasse bien, je veux tous les détails.— Non ce n’est pas ça…— Ne me mens pas !— Tu es jalouse ?— Non curieuse et excitée. Et caresse-toi en même temps. Je m’exécutais, lui racontant ma journée d’hier avec Anne, tous les détails sur son corps et ce faisant, je rattrapais le temps perdu et mes jouissances manquées d’hier. Marjorie m’excitait, en me faisant imaginer qu’Anne me possédait. — Et tu l’imagines en train de lécher ses seins ? Peut-être qu’elle est vicieuse aussi ? Peut-être même encore plus que toi ?— Non, laisse là en dehors de ça.— On verra mais il faudra être sage.— Oui, je te le promets.— Alors voilà mes consignes : jamais de culotte ou alors la culotte fendue, pas ...