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LE JOLI MOIS DE MAI : 15ème épisode
Datte: 08/11/2017, Catégories: Partouze / Groupe
... tour et en dépit de la température un peu fraîche se retrouve nue à mes côtés. Du coin de l’œil, je la devine dans la pénombre comme au cinéma la semaine dernière. Son joli profil grec, ses lèvres qui se pincent quand ses doigts courent sur son clitoris que j’imagine déjà gonflé de désir. - « Ils s’en vont on dirait ! » - « Non regarde... » lui dis-je un peu soulagé. Soulevant comme un fétu de paille sa maîtresse, l’homme la dépose maintenant sur la table du salon et la prend toujours au même rythme lent. À voir le visage de la femme qui roule bord sur bord, son plaisir monte de plus en plus. Sa bouche ouverte laisse passer des cris que nous n’entendons pas mais que nous imaginons très bien. - « Ça m’excite tu ne peux pas imaginer ! » me confie Christelle en me regardant droit dans les yeux sans cesser ses caresses. - « J’ai envie de toi.» - « Viens. » Nous nous rapprochons de la baie vitrée à notre tour et comme eux le faisaient il y a quelques minutes à peine, nous faisons l’amour doucement dans le noir. La femme s’est relevée et c’est assise au bord de la table qu’elle se fait posséder, les bras refermés autour du cou de son amant. - « Je crois qu’on ne prendra plus l’apéritif chez Roger et Annick de la même manière maintenant » dis-je. - «Ta gueule » me lance amusée Christelle. « Prends-moi ! » Je m’exécute volontiers et décide de caler mes mouvements sur ceux de cet homme pour le moins endurant car voilà une bonne demi-heure qu’ils baisent sans se douter que nous ...
... les observons. Christelle sous mes assauts, commence à réagir de plus en plus et se dresse sur la pointe des pieds. Je sais bien ce que cela signifie. Elle aime et en bougeant ainsi elle m’encourage. Son plaisir monte. Je décide de me caler un peu mieux contre le mur et appuie...sur l’interrupteur de la lumière du salon. Instantanément attirés par cet éclat dans la nuit, nos exhibitionnistes involontaires ne peuvent que constater que nous baisons en les regardant. En dépit de ma rapidité, avec l’émotion et le sursaut de Christelle nous voyant découverts, je ne trouve l’interrupteur qu’au bout de deux très longues secondes qui laissent le temps à nos voisins de disparaître de notre vue et à la lumière de s’éteindre chez eux. Nous restons là comme deux cons. Qualificatif dont me gratifie ma femme à juste raison. - « Tu fais chier ! Ça commençait à être vraiment bon ! » dit-elle avec une pointe de colère. - Désolé ! La lumière en face se rallume, mais personne n’apparaît devant les fenêtres. Ou plutôt si. L’homme revient, suivi de la femme et les yeux braqués dans notre direction nous regardent sans nous voir. - « On fait quoi ? » - « Ça va dépendre d’eux... » Nous assistons, tapis dans l’ombre, à la discussion du couple qui reprend là où il en était. - « Incroyable ! » - « Tu es sûr qu’ils nous ont vu ? » - « C’est sûr ! mais ça n’a pas l’air de les gêner plus que ça... » - « Tu crois qu’ils vont continuer ? » - « On dirait... » Car l’homme et la femme, de nouveau enlacés, ...