1. Plaisir canin


    Datte: 15/06/2021, Catégories: f, Masturbation Oral zoo,

    Je me prénomme Isabelle, 45 ans depuis le 25 août dernier, mariée depuis 25 ans. Mes deux garçons sont maintenant élevés, l’un travaille aux Etats-Unis et l’autre continue ses études de médecine en région parisienne. Mon mari est responsable commercial du quart nord-est de la France dans une entreprise agroalimentaire. Je suis habituée à le voir peu souvent et je pense que de savoir qu’il serait souvent absent, a participé, outre mon amour, à ma décision de l’épouser. J’aime ressentir une certaine liberté. Non pas que je sois libertine, car depuis mon mariage, nul autre homme que mon mari a partagé mon lit alors que maintes occasions se sont présentées, ce qui n’est pas le cas de mon mari, qui lui, m’a ignoblement trompée, et nul doute, me trompe encore maintenant. Cela fait plus de trois années que j’ai cessé toute relation sexuelle avec lui. Je garde une certaine tendresse pour celui qui est le père de nos deux garçons, mais plus aucun désir physique envers lui. Mais assez parlé de ce menteur ; nous habitons une grande maison dans un tout petit village (175 âmes au dernier recensement) du centre-est de la France. Je reste vague par souci de discrétion, non pour moi, j’assume ma vie, mais pour mes fils. Notre maison, une ancienne ferme, composée de plusieurs bâtiments, est entourée de plus de 15000 mètres carrés de terrain. Quand les garçons étaient jeunes, nous avons possédé un chien que nous avons gardé jusqu’à sa mort, quinze ans plus tard. Les garçons ayant grandi, la ...
    ... galère à chaque voyage pour trouver un voisin, un ami, qui veuille bien garder le chien, nous décidâmes mon mari et moi-même de ne pas en reprendre un autre. Au mois de juin 2006, ma meilleure amie, Catherine, me demande de garder son chien, Tom, un labrador de quatre ans, durant ses trois semaines de vacances au mois de juillet. Ce n’est pas la première fois que je le lui garde, mais je ne l’ai jamais eu pour une si longue période. Je suis même contente, car cela me fera un compagnon pour mes longues journées solitaires. Mon travail d’enseignante, me laisse beaucoup de temps de libre et depuis que les garçons ont quitté la maison, je me sens seule par moment. Catherine amène donc Tom le vendredi 7 juillet dans l’après-midi. Mardi 11 juillet, je me lève vers 8h, un petit déjeuner, une douche, et je reprends le ponçage des poutres dans la remise attenante au corps principal de notre maison. C’est une chaude matinée d’été. Vers midi, contente de moi, je décide de me préparer une salade composée pour déjeuner. Je n’oublie pas les croquettes pour Tom et une fois cette rafraîchissante salade avalée, je me prépare un café et m’installe dans un transat sur la terrasse pour apprécier ma seconde cigarette de la journée. Une le matin après le petit-déjeuner, une le midi après le café et la dernière le soir après dîner. Je laisse refroidir ma tasse car je préfère le café tiède, froid à la limite, au café brûlant. Allongé au pied du transat, Tom me regarde prendre un morceau de sucre et le ...
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