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weekend avec mon beau père et Max (4)
Datte: 16/06/2021, Catégories: Inceste / Tabou
Le lendemain, nous dûmes quitter Marcel. J’avoue que ce couple à trois m’excitait particulièrement. J’aurais souhaité continuer quelque temps à me faire prendre et lécher aussi bien par les hommes que les animaux. La bite du cheval était une vraie découverte pour moi. Cette queue d’étalon longue et large avait bien rempli ma fente. Avant que je le quitte, Paul laissa Marcel s’amuser encore un peu avec moi. Je me couchais sur la table de la cuisine avec un simple tablier. Marcel ouvrit mes cuisses et me lécha. Il s’appliqua à humidifier chaque recoin de ma chatte. Il prit quelques photos de ma fente, de mon cul me demandant de me caresser un peu, les jambes bien écartées. Puis, il me mit à genoux sous le regard de Paul et me tendit sa bite dure. Je la léchais sous l’œil un peu jaloux de mon beau-père. Je gémissais d’excitation. Marcel éjacula longuement un sperme épais et chaud que je m’appliquais à avaler. Avec des petits coups de langue, je nettoyais la queue. Marcel m’embrassa à pleine bouche et me remercia, en me caressant les fesses. Je repartis avec Paul en voiture, sans ma culotte, comme la veille. Il faisait encore chaud et nous roulâmes les vitres ouvertes, sur les départementales et la nationale. Dès notre sortie de la ferme, mon beau-père m’avait relevé le bas de la robe, pour laisser ma fente bien visible et il m’ordonna d’ouvrir mes cuisses. De temps en temps, il passait sa main pour me caresser et la regardait. Les chauffeurs de camion étonnés nous klaxonnaient. ...
... Ils devaient être excités en apercevant ma fente de leur camion. Cette exhibition me plaisait. J’aimais les faire fantasmer. Au bout de deux heures, nous nous arrêtâmes sur une aire d’autoroute. — Tu as été une belle salope ce weekend. Tu t’es fait baiser comme une chienne et je n’ai même pas pu en profiter, autant que j’aurais voulu. Il va falloir que tu te fasses pardonner. Paul sourit et se pencha vers moi. Il était déjà en érection. Nous étions garés un peu à l’écart sur le parking. Quelques camions étaient garés à quelques mètres de nous. Mon beau-père passa sa main sur ma chatte très humide. Il me doigta directement m’obligeant à bien dévoiler ma chatte pour le laisser me pénétrer. J’avoue que ça ne ma déplaisait pas d’être un objet de fantasme pour mon beau père. Je me mettais à le provoquer de plus en plus souvent en exhibant ma chatte épilée ou mes seins en forme de poire aux tétons roses. Très souvent, il se laissait prendre au jeu et je me retrouvais vite avec sa bite en bouche ou les cuisses écartées. C’est ce que je voulais. Je gémis sous la pression des doigts dans ma fente. Je mouillais comme une chienne. Grâce à Paul, je m’étais rendu compte que je jouissais facilement, contrairement à d’autres femmes. Je suis autant vaginale que clitoridienne ce qui explique mon plaisir à me faire sauter ou à sucer. Mon beau-père dégagea mes seins et se pencha pour les prendre en bouche sans continuer de me caresser. Il sortit les doigts humides de ma chatte et vint caresser ...