Nadette a des idées (moi aussi parfois) - Histoires de Sexe

Nadette a des idées (moi aussi parfois)

... au travers du vase. Elle le fait tourner, lui fait faire des allers et retours et de son autre main se remit à caresser son clitoris. Alors qu’elle est en pleine action je toque sur son bureau (comme si c’était sur sa porte que je le faisais). Elle rabat sa jupe en disant : « Entrez ! mais sans avoir le temps de retirer ce qui occupe son vagin. Elle reste assise les fesses au bord de son fauteuil. Nous lançons alors dans une conversation très pro. Elle se lève pour chercher un dossier. Durant tout ce temps je continue à filmer sous ses jupes, presque couché par terre. Finalement la conversation prend fin. Nadette, une fois que je sois censé être sorti, relève sa jupe et retire du doux endroit où il est niché le soliflore. Elle rajuste son string et se rend au lavabo pour nettoyer son vase avant de le remettre sur son bureau, toujours suivie par la caméra. Quand tout est fini, ma chérie remet sur le tapis son idée du midi. Je pensai que cela n’avait été qu’une intention venue dans la conversation et oubliée presque sitôt émise. C’est mon cas, car je n’y songe plus du tout. Je suis assez dubitatif. Je biaise : — Je ne vois pas à quel moment intégrer cette scène dans le déroulement de l’histoire.— Elle peut venir peu après celle où tu m’encules dans mon bureau.— Oui peut-être, mais je ne sais pas si ça cadre bien avec le reste.— Mais si bien sur, après que tu m’ais pris la rondelle ce n’est pas incohérent. En plus avec l’amour et le sexe il peut y avoir surprises, des ...

... occasions, de l’inattendu. Un peu comme pendant la randonnée avec ma nièce. Je dois me renfrogner un peu. Elle éclate de rire — Allons ne fais pas cette tête. C’est moi qui devrais la faire. Bien sur quand tu m’as fait lire l’histoire sur Revebebe ça a eu un peu mal à passer. Mais tu avais eu la franchise de me le dire, ou plutôt de me le faire lire, et tu avais l’air si malheureux. En plus quand on y pense la situation était tellement « surréaliste, comme tu l’écris toi-même, que je ne peux pas t’en vouloir de ce petit écart. Je sais que tu m’aimes comme je t’aime. Elle ponctue sa phrase d’un baiser avant d’enchaîner : — Au fait lui as-tu fait lire ton récit ? Lui as-tu dis que tu m’avais mise au courant ?— Ni l’un, ni l’autre. Nous ne nous sommes guère revus depuis ce jour là et jamais seuls. En plus je ne me sens pas très à l’aise quand elle est là, même si je fais comme si.— C’est vrai qu’elle n’a pas l’air toujours très décontractée non plus en notre présence.— Cela devrait passer j’espère.— Tu sais les choses ne se résolvent pas toujours par un grand silence. Les non-dits peuvent empoisonner la vie. Ce n’est pas une inconnue. Je l’ai souvent gardée quand elle était petite. Je l’aime beaucoup. Je pense qu’il faudra l’inviter un jour pour clarifier les choses pour qu’il n’y ait pas ou plus de gène entre nous.— Peut être as-tu raison ? Il faudra y réfléchir et en discuter à un moment plus propice.— Exact. Ce n’est pas la question d’actualité. Revenons à nos moutons. Je disais que ...