1. Nous étions beaux, nous étions jeune


    Datte: 16/06/2021, Catégories: Humour, Inceste / Tabou Voyeur / Exhib / Nudisme

    Nous étions beaux, nous étions jeunes... nous dévorions la vie avec passion et sans aucunes limites... nous nous aimions à la folie, à l'excès... quitte à ce que tout se consume trop vite !Elle avait 21 ans et moi quatre de plus...Céline était une belle grande blonde qui mesurait presque ma taille, à deux centimètres près... ses jambes interminables remontaient jusqu'à de superbes fesses qui frisaient la perfection... ses seins, qu'elle trouvait trop petits, étaient pourtant magnifiques et je pouvais les prendre, les caresser... un dans chacune de mes énormes mains d'alpiniste. Ils étaient vraiment trop beaux... elle était vraiment trop belle ! Elle était encore étudiante sur Grenoble...Quant à moi, vous l'aurez compris et même si je terminais en parallèle ma formation d'éducateur spécialisé, ma vie était en montagne... puisque, à l'époque, je préparais le diplôme de guide et enchaînais les grandes voies difficiles aux quatre coins des Alpes. Enfin, beaucoup moins depuis quelques mois et ma rencontre avec Céline, au grand désarroi de mes compagnons de cordée !Céline, non plus, n'avait pas une grande assiduité à suivre ses cours car, en ce printemps 97, nous étions toujours ensemble, de façon fusionnelle... à baiser farouchement dès que nous en avions l'envie, presque partout du moment où cela nous en prenait l'idée. Il y avait même une certaine forme d'excitation à faire l'amour dans des lieux publics les plus insolites possibles, avec le risque de se faire surprendre !Ce ...
    ... soir-là de juin, nous étions partis de chez Céline avec en tête d'escalader les grilles d'entrée du fort RABOT et de baiser au sommet des fortifications en dominant toute la ville, pour que tout Grenoble entende notre jouissance, notre amour... Seulement, nous n'arrivâmes jamais jusqu'aux fameuses grilles !Le temps était au grand beau et la journée particulièrement chaude... la température était encore étouffante en ce début de soirée dans la cuvette grenobloise. Céline n'était donc vêtue que d'une robe légère et relativement courte, avec rien en-dessous pour me provoquer encore un peu plus, pour que je puisse la prendre dès que nous en aurions envie. Elle avait aussi une paire de tennis blanches, car les talons hauts n'étaient pas l'idéal pour l'escalade.Mon grand jeu, dans la traversée des rues animées du vieux Grenoble, fut de soulever la robe de ma belle et donc de découvrir son sublime cul et sa non moins jolie petite chatte à la vue des badauds. Quel bonheur, que de voir tous ces regards interloqués, mais aussi gourmands, voire même envieux... se tourner dans notre direction, à notre passage.Céline riait tout ce qu'elle pouvait de cette situation, de l'excitation qu'elle provoquait chez les hommes, mais également chez les femmes que nous croisions. Elle en redemandait, marchant de façon indécente et s'arrêtant parfois pour se baisser comme si elle voulait relacer ses chaussures."Je suis toute mouillée... j'ai envie de sentir ta queue en moi, Manu.- Là, tout de suite... en ...
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