Une relation inattendue
Datte: 17/06/2021,
Catégories:
fh,
extracon,
Collègues / Travail
fépilée,
hotel,
strip,
Oral
69,
pénétratio,
fsodo,
... l’introduction d’un doigt dans son anus, elle me prit la main et me dit : — Doucement, je suis vierge de ce côté là. J’essayais de la rassurer, timidement car j’avoue que c’est une pratique que je n’avais jamais essayée. — Si tu ne veux pas je ne vais pas insister, disais-je sans trop savoir quoi dire.— J’ai envie que tu m’encules mais en douceur. Surpris par sa réponse, je décidais de tenter l’expérience. Egoïstement, je pensais qu’elle ne pourrait pas comparer puisqu’elle ne l’avait jamais fait. Je lubrifiais mes doigts en les léchant et en les glissant dans sa chatte que je laissais libre pour m’occuper de son puits d’amour. Je lui léchais le trou du cul en introduisant un puis deux doigts et en inprimant un léger mouvement de va-et-vient. Elle semblait apprécier tout en serrant très fort les draps comme pour trouver un appui. Après quelques minutes de ce traitement, je présentais mon gland à l’entrée de sa rosette. Je tentais de forcer le barrage et d’un seul coup je m’enfoncais jusqu’à la garde dans son trou du cul, lui arrachant un râle de douleur ou de plaisir. Je marquais alors un temps d’arrêt. — Vas y doucement, j’ai mal ! Comme pour me rassurer, je lui dis : — Tu veux que j’arrête ?— Non, viens en moi tout en moi. Alors dans un rythme de plus en plus rapide, j’infligeais à cette pauvre Alice ...
... qui était devenue un simple objet sexuel, une sodomie dont je me rappelerais toute ma vie. Au fur et à mesure de ma progression et sous les râles de plus en plus prononcés d’Alice, je sentais monter la jouissance et, me retirant en laissant un gouffre béant, je déversais toute ma semence sur le dos en sueur de ma maitresse d’un soir. — Je crois qu’on ne m’a jamais fait l’amour comme ça. Ce qui flattait largement mon ego. Je ne connaissais pas le plaisir de la sodomie, et j’avoue que même avec la douleur, j’ai pris mon pied. Je découvrais pour la première fois Alice sous un nouveau jour. Après ça, nous avons pris une douche et nous avons décidé d’en rester là pour ce soir. J’ai regagné ma chambre, sans pouvoir fermer les yeux. Malgré ces deux séances, je restais excité par le souvenir de cette soirée et ne résistais pas au besoin de me soulager avant de m’endormir, éreinté. Nous avons fini le stage et sommes rentrés chez nous sans reparler de cette soirée. Même au boulot lorsque nous sommes seuls, nous ne faisons aucune allusion à cet adultère caractérisé. Depuis, nous avons passé d’autres soirées en couple et elle semble plus heureuse avec son mari. J’espère que c’est grâce à moi. Pour ma part, je n’ai jamais parlé de ça à ma femme que j’aime de tout mon coeur. Mais cela reste un souvenir impérissable.