Les débuts difficiles de notre couple avec Aline
Datte: 17/06/2021,
Catégories:
fh,
Masturbation
intermast,
Oral
69,
pénétratio,
confession,
amourdura,
... et naturellement, elle était venue pleurer sur mon épaule. Je lui proposai d’aller passer un week-end au mont Saint-Michel qu’elle avait toujours désiré connaître. Nous avons fixé la date pour le samedi en 15. J’avais pris une décision, j’avais acheté une bague et allais lui demander de m’épouser. Si elle refusait arguant de son amour pour Joël, alors je romprais. Cela me ferait de la peine et peut-être un peu à elle aussi, mais je ne supportais plus cet état de fait. Nous avions prévu de manger ensemble le vendredi midi et de planifier notre séjour. J’avais fait toutes les réservations nécessaires. J’étais très impatient. Lorsque j’étais passé la chercher, j’avais vu par la vitre de son bureau qu’elle était au téléphone, je lui avais fait signe que je partais en avance. Quand elle arriva, elle avait un grand sourire et tout de suite me dit : — C’était Joël au téléphone, il arrive demain et il m’a dit qu’il avait quelque chose à me dire. Cette fois, je pense que ça y est, il va me demander en mariage. Ça ne te dérange pas si on remet notre week-end à plus tard ? La foudre me serait tombée dessus, je n’aurais pas ressenti un plus grand mal. Alors, comme tous les timides quand ils se sont décidés, j’allai au bout de ce que j’avais déterminé : — Si ça me dérange ! J’ai tout prévu, tout organisé. Alors je vais te dire la décision que j’ai prise ! Elle semblait étonnée, je crois que c’était la première fois que je la rembarrais et que je lui parlais sur ce ton depuis que nous ...
... sortions ensemble. Comme elle ne disait rien, je repris la parole : — Je crois qu’il vaut mieux qu’on ne se voie plus !— Mais pourquoi ? On s’entend bien tous les deux, tu me donnes beaucoup de plaisir et je pense que de ton côté tu n’as pas à te plaindre. Elle semblait très surprise et avait des larmes dans les yeux, ce qui faillit me faire renoncer. — Je n’en peux plus Aline, je t’aime et chaque fois que je te vois, tu me parles de Joël. On prévoit un week-end et au dernier moment, tu l’annules.— Je ne te l’ai jamais caché, c’est lui que j’aime.— C’est vrai, tu as toujours été franche et je ne te reproche rien. Mais te rends-tu compte que tu me fais vivre exactement ce qu’il te fait vivre ? Moi, je ne le supporte plus. Alors, il vaut mieux qu’on arrête maintenant. Car cela allait arriver tôt ou tard de toute façon ; plus on s’y prendra tard, plus ce sera difficile pour moi de m’en remettre. Alors, crois-moi, j’en suis le plus triste mais vraiment, je préfère qu’on ne se voit plus. S’il te plait, si tu as un peu d’affection pour moi, ne m’appelle plus, ne viens plus me voir. Tu me fais trop souffrir.— Non, s’il te plait, ne fais pas ça. J’ai trop besoin de toi quand il me laisse. Vers qui je vais pouvoir aller si tu ne veux plus me voir ?— Tu te rends compte de ce que tu viens de me dire ? Je ne suis qu’un moment de détente pour toi quand celui que tu aimes te laisse. Si ton bonheur est avec un autre, je le regrette mais je le comprends. Moi je t’aime, alors, je m’efface pour ...