1. Yasmina, princesse de l'Orient


    Datte: 18/06/2021, Catégories: fh, hplusag, jeunes, danser, amour, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, init, historique,

    ... d’Abdul al Rachid. Au moment où, sonné, il allait recevoir la lame de son yatagan en pleine poitrine, d’un geste désespéré je lui plongeai ma dague au fond de la gorge. L’homme se figea dans un affreux gargouillis, puis s’affala sur le côté. Le Grand Vizir et moi aidâmes le Sultan à se remettre sur pieds. Nous nous aperçûmes que bon nombre de badauds s’étaient regroupés autour de nous. J’étais maculé de sang, on me reconduisit dans mes appartements. Là, des domestiques que je ne connaissais pas me préparèrent un bain chaud et parfumé. Une jeune fille apporta un plateau avec du thé à la menthe et des pâtisseries. Plus tard, Gildas accourut, affolé, pour prendre de mes nouvelles. — Où étais-tu, coquin ? lui demandai-je, feignant la colère.— Je contais fleurette à notre servante, Aïcha, mon Seigneur, répondit-il, tout penaud. J’en étais presque à la fin du récit de ma mésaventure, quand un soldat fit une entrée remarquée. Il s’inclina devant moi. — Sa Seigneurie le Sultan vient te rendre visite ! dit-il à voix haute. Abdul al Rachid entra à son tour, congédia tout le monde, y compris Gildas. Une fois seul avec le traducteur et moi, il me serra un instant contre lui. — Je te dois la vie, noble étranger !— N’exagérons rien, Sultan Abdul al Rachid ! Le Grand Vizir était là aussi, répondis-je, modeste. Après quelques minutes de palabre, nous nous assîmes sur l’épais tapis et bûmes du thé. — Pour te prouver ma reconnaissance, Marcus de Jarnisie, je t’offre les appartements que tu ...
    ... occupes actuellement. Et, bien entendu, tu peux vivre ici à ta guise. Demande, et tu auras ! déclara solennellement mon auguste hôte. Je faillis avaler de travers et me brûlai la langue. — Je suis très honoré, Sultan, mais je ne peux accepter un tel cadeau ! bredouillai-je. Le sultan se rembrunit. Si je continuais dans cette voie, je risquais l’incident diplomatique. Abdul al Rachid avait trois splendides filles, trois véritables beautés orientales. La plus grande, Zakia, était mariée ; la seconde, Samira, promise à un riche négociant en tissu. Quant à Yasmina, c’était une jeunesse de petite taille dont les formes prometteuses se devinaient sous ses fins vêtements. Elle avait un visage magnifique, un peu ovale, avec des lèvres pleines qui souriaient toujours, des yeux en amande de couleur sombre au regard espiègle, malicieux. Le tout était entouré d’une longue chevelure aux lourdes mèches noires où dansaient des reflets violine et roux. Nous nous connaissions, puisque nous avions souvent eu de grandes discussions avec l’aide de sa traductrice, quand je partageais le repas avec le Sultan et sa famille. Je peux même dire qu’une certaine complicité s’était installée entre nous. Complicité qui, d’ailleurs, n’avait pas échappé à son père. Une fois ce dernier parti, je décidai de marcher jusqu’au village en contrebas du palais. Je constatai avec étonnement que les nouvelles allaient vite. Les passants et les commerçants ne me regardaient plus avec méfiance. Maintenant, on me saluait ...
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