Les nièces jumelles : saison 2 (5)
Datte: 18/06/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
... qu’ils doivent être gênés de se retrouver là dans ce genre de circonstance. Je les imagine mal discuter librement et se dire des choses comme : "Ah tiens, toi aussi tu es venu pour te taper Lucy ?" "Oui oui, bien sur. Je compte bien la défoncer." Cela ne doit pas être facile pour eux d’assumer leur envie de laisser libre court à leur instinct sexuel. Néanmoins, ils sont venus, et j’espère qu’ils oseront aller jusqu’au bout. Ils me disent qu’ils ne pensaient pas que je viendrais. Apparemment, il y en a même un qui s’est tiré avant que j’arrive. Le pauvre, comment il va regretter demain lorsque ses potes lui raconteront ce qu’ils m’ont fait. Pour les détendre, je commence mon show en enlevant ma nuisette. Je les sens déjà durcir quand je joue avec mes seins nus. Je leur lance des sourires et des regards de chienne en chaleur pour bien les chauffer. — Allez, les garçons, n’ayez pas peur, sortez là de votre pantalon, vous n’êtes pas venu juste pour me mater à poil, non ? Il faut un peu de temps avant que le premier se décide enfin à enlever son caleçon. Les autres ont moins peur de le suivre maintenant qu’ils savent qu’ils ne seront pas seuls. Je suis ravie de voir qu’ils bandent déjà tous. Il y en a de toutes les tailles, petites, moyennes et grosses. Pas grave pour celui qui a la plus petite, les autres seront là pour compenser. Certains ont déjà commencé à se branler. Je continue de les allumer en leur montrant ma chatte et en me la caressant. Ils ont tous la main sur leur ...
... manche quand je me mets à m’y enfoncer des doigts. Ils doivent être en train de s’imaginer me faire des choses obscènes en ce moment. Je m’approche d’eux et m’agenouille en leur disant : — Venez, je vais vous sucer. Je vais tous vous sucer. Ils se mettent en cercle autour de moi. Tous ces garçons... avec leur belle bite dressée rien que pour moi, je mouille comme une folle. Je saute en avaler une et en branle deux autres d’une main. Je suis un peu intimidée, je n’ai jamais eu autant de queues à satisfaire, je ne suis pas tout à faire sûre de comment m’y prendre. Je perds rapidement la tête, je n’arrive plus à raisonner clairement. J’adore sucer, je les pompe du mieux que je peux, leurs gémissements m’excite à mort. Je passe de l’une à l’autre comme une chienne en manque. Il me faut de la bite, j’en ai jamais assez ! J’adore cette sensation d’en avoir plein la bouche, j’aime leur gout. Je joue avec leurs bourses, elles sont pleines de sperme. Je veux les faire cracher, les vider, faire ramollir leur bite au point qu’elles ne soient plus capables de se relever. Je ne laisserais personne sortir tant que tout le monde ne sera pas repu, les couilles à sec. — Putain, Lucy, alors c’est vrai, tu es une vraie salope ! dit l’espèce de créature auquel le sexe dont je m’occupe est rattaché. — Moi non plus, je ne pouvais pas le croire, dit un autre. Tu es pourtant venu histoire de vérifier que c’était bien vrai, hein petit con ? T’inquiète pas, tu l’auras ton tour pour me fourrer. — Pitié ! ...