L'étalon ultime (2)
Datte: 18/06/2021,
Catégories:
Hétéro
... reporta la faute sur ses vêtements d’hiver qui camouflaient ses formes. L’attente du beau temps allait être longue. A la cafétéria, il déjeuna avec Ben, l’élève de sa classe avec lequel il était le plus proche. Il tâta le terrain : — Tu ne remarques rien ? — Hum, tu as changé de coupe ? — J’ai commencé la gym il y a un mois, et hier soir j’avais l’impression de voir les premiers résultats. — Oui, maintenant que tu le dis, tu es plus gonflé. Je pensais que c’était dû aux vêtements. Ecoute, tant mieux pour toi. Ses soupçons étaient donc fondés. Les vêtements étaient en cause. J-30 avant l’arrivée du printemps. Peut-être moins, par chance. L’après-midi parut tout aussi long à Léo, pressé de caresser à nouveau son corps et sa splendide verge. D’ailleurs celle-ci commençait à gonfler dangereusement. Ses couilles s’étaient-elles déjà remplies en si peu de temps ? La pression du jean sur son pénis en cours d’inflation ne fit qu’augmenter la sensation d’excitation. L’étudiant jeta un coup d’œil discret à son entrejambe. La vache, sa bite avait dépassé du slip et marquait un beau relief, plaquée le long de la cuisse gauche. Bien que gênante, cette vision l’excita davantage et son engin était maintenant entièrement bandé. Il était hors de question de se lever comme ça. Et la fin du cours approchait. Il essaierait de baisser au plus bas son pull, ou même de porter devant lui son sac. Le hic, c’est qu’il sentait du liquide préséminal commencer à perler de son gland. A ce rythme, à la ...
... fin du cours, une tâche serait bien visible. La honte suprême. Il fallait se vider dans les toilettes. Il leva la main pour demander la permission de sortir. Etant au premier rang, il fit attention de ne pas se retourner vers les autres et marcha le plus naturellement du monde vers les WC. Il s’enferma dans une cabine et commença la besogne. Il se branla de toutes ses forces en pensant à Angélique. Elle, allongée nue sur son lit, les cuisses écartées. Lui, nu également, lui enfilant d’un coup son membre jusqu’au bout, puis entamant des coups de reins de plus en plus rapides et intenses. Angélique gémissait de plaisir, le regard ailleurs, les mains baladeuses sur son torse viril. Oui, la piner, putain. Lui mettre cher. Sa chatte dégoulinant de cyprine et rougeoyant sous l’action de ce phallus endiablé… La sauce sortit avec force et éclaboussa le dossier du siège. Six ou sept jets. Cette fois, Léo avait bien fait attention de maîtriser sa voix et n’avait laissé échapper qu’un grognement de bête. Moins de 3 minutes étaient passées. Parfait, rien de louche. Il retourna en classe mais ses pensées étaient ailleurs. Il avait eu deux puissants orgasmes la même journée, laquelle n’était pas encore terminée. « Je suis une putain de machine à baiser » pensa-t-il, satisfait. Il avait hâte de tester ses performances sur quelqu’un. Le plus tôt serait le mieux. Les cours s’achevèrent et Léo rentra dans son appart étudiant. Il se dessapa pour admirer encore et encore sa musculature. Mais le ...