1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°935)


    Datte: 19/06/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... lanières me frôlant me fit frissonner et puis le premier tomba sur mes fesses, la force et la soudaineté du coup me surpris - celui la c'est juste pour te réveiller ! Alors s'enchaînèrent les coups plus ou moins appliqués, plus ou moins rapides . Au début je résistais . Les coups semblaient chauffer mon corps . Tout y passa, mon dos mes reins, mes fesses, mes cuisses . Je ne peux pas dire qu'à ce moment je souffrais, non, et j'en ressentais une certaine frustration . Je voulais vraiment "rembourser" ma dette ! Le Marquis arrêta et me caressa, oui me caressa, sa main fût douce sur mon corps chaud . - elle est prête Walter, si on la faisait chanter un peu maintenant ? - oui Monsieur le marquis, je suis certain qu'elle a de la voix, dit-il en s'approchant à son tour de la table ! - Prenez celui-ci Walter, je vais en chercher un autre . Qu'est-ce que tout cela voulait dire ? Walter participait aussi à ma punition ? Je n’eus pas longtemps à me poser de question, ou même d'avoir peur . Chacun à leur tour, dans un synchronisme machiavélique, ils abattirent les martinets sur moi . Je ne pus retenir mes gémissements bien longtemps . Ils se transformèrent en cris très rapidement . L'alternance infernale des coups frappant tour à tour mon dos, mes fesses, parfois venant fouetter mon entre cuisse en feu, parfois ensembles..... Si au début j'avais pensé pouvoir ne pas crier, je déchantais très vite ! Les coups étaient puissants, lourds, féroces, sans pitié, il y en avaient trop . Je ...
    ... criais comme jamais je ne l'avais fais auparavant, Je n'avais jamais reçus de telle correction . Je sentis des mains me caresser, douces, tendres, fermes, apaisantes Je ne me sentais pas la force de regarder à qui elles étaient, elles me comblaient de tendresse, m'insufflant la force et le courage de supporter les coups . Les coups, qui reprirent de plus belle, puis de nouveau la caresse des mains....Cela dura une éternité, je perdais la notion du temps à mesure que les coups s’abattaient sur moi, que les mains me caressaient me faisant perdre la tête . Je ne savais plus où j'en étais .J'avais la sensation qu'ils me fouettaient de partout en même temps . Je ne savais plus où tombaient les coups, j'avais l'impression de les ressentir partout et en même temps . La douleur se mêlant aux caresses, me propulsa dans des contrées inconnues de moi . Mon corps se tendait, s'offrait, essayait de se soustraire aux coups, réclamait grâce... Je criais que l'on arrêta et craignant qu'on le fit . Et puis doucement, je sentis bientôt mon corps , non plus refuser les lanières mais au contraire, onduler pour en rechercher la cruelle caresse , je ne criais plus je gémissais . Le Marquis sentit le subtile changement, et tout de suite arrêta les coups, Walter en fit autant . - Je ne veux pas qu'elle prenne du plaisir, elle paie une dette ! - va chercher Mélanie, je m'occupe de cette chienne jouisseuse ! .Le Marquis me détacha et me pris dans ses bras, je ne m étais pas rendue compte que je pleurais à ...
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