1. Corinne


    Datte: 19/06/2021, Catégories: fh, extracon, cadeau, Collègues / Travail fépilée, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, chaussures, Oral pénétratio, vêtements,

    ... vers elle, elle me fait signe que non, de rester assis. Je suis le témoin voyeur et passif de son désir d’exhibition. — Que tu crèves d’envie de me sauter, mais sans que tu le fasses. Dis-moi, Laurent, tu veux juste me sauter ou tu es amoureux de moi ? Alors, en dépit de son geste de refus de tout à l’heure, je me lève, m’approche, et lui souffle à l’oreille : — Je suis dingue de toi. Et j’essaie de l’embrasser. Mais elle détourne la tête, se retourne et me dit : — Il faudra bien que je me contente de ça, je suppose. Tu sais, c’est mon dernier jour. Demain, on part en Écosse pour un mois. Tu dragueras d’autres filles pendant que je ne serai pas là ? Bon, ne me réponds pas. Lèche-moi le minou, s’il te plaît… C’est inattendu, mais je me reprends vite et m’exécute. Je lui en donne pour son argent. Quand elle n’en peut vraiment plus, elle m’arrête. — Oh, c’est génial un mec qui ne se tracasse pas que de lui. Tu m’attendras ? Si oui, je te promets que je ne te décevrai pas. D’accord, mais qu’est-ce que je dois attendre d’elle ? Elle est mariée. Tout ça me tourne dans la tête durant tout un mois. Lorsqu’elle rentre, le temps a bien changé. La pluie s’est installée, et, le matin de son retour, elle arrive trempée dans mon bureau. En pantalon, mais avec une sorte de marcel sous un imper transparent. — Salut ! Alors… tu m’as attendue ? J’acquiesce d’un signe de tête. Alors, elle vient se planter devant moi, secoue ses cheveux maintenant courts sur ma figure, et me donne un petit ...
    ... bisou sur les lèvres en riant, puis elle s’enfuit. Elle s’arrête pourtant à la porte du bureau, tourne la tête, et me dit : — Au fait, tu peux prendre congé jeudi après-midi ? Je fais signe que oui. Elle disparaît. Le jeudi à midi, elle passe me chercher. — J’ai ramené un cadeau pour toi, il est à la maison. On prend à nouveau sa voiture, mais elle est toujours en pantalon, et c’est nettement moins intéressant que la dernière fois. Dès que nous sommes entrés, elle va me chercher un paquet cadeau. Je l’ouvre. Un kilt ! — C’est vraiment pour moi ? Elle fait signe que oui. — C’est un vrai ? Ça doit coûter une fortune, un truc comme ça…— Ne te tracasse pas de ça. Et puis, c’est un peu pour moi aussi. Je voudrais que tu ne portes que ça. Et comme les Écossais ! Attends que je sois sortie, je vais me changer aussi. Je me déshabille donc entièrement, et me voilà en kilt, sans rien dessous et torse nu. Je m’installe dans un fauteuil pour l’attendre. Elle redescend de la chambre. Diable, quel spectacle : elle a un mini kilt ras des fesses et une blouse en dentelles avec de très longues manches, mais dont le buste était sans doute prévu pour une poitrine plus volumineuse, car la sienne ne cesse d’apparaître entièrement par le décolleté du vêtement. D’une télécommande, elle enclenche la musique, et entame une de ces danses aériennes que pratiquent les filles des Highlands, avec pour effet de soulever sans arrêt le mini kilt, et de démontrer que, elle non plus, ne porte rien dessous. L’effet ...
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