Inceste et cours de sexe (7) - Histoires de Sexe

Inceste et cours de sexe (7)

Stéphanie ponctua son suspens d’un sourire coquin. "Mesdames, allez chercher les godes-ceintures ! On va apprendre à ces mâles qui domine ici !". Cette phrase me fit un choc. Jamais je n’avais pu même imaginer me faire enculer. Mon orifice anal est personnel, diantre ! Me faire enculer, ce serait comme perdre ma virilité ! Stéphanie reprit la parole : "Eh oui ! L’examen d’entrée à cette école comporte aussi la sodomie, que ce soit pour les filles ou les garçons. Ne vous en faites pas, jeunes hommes, ce n’est pas si douloureux que ça la première fois. La première fois est d’ailleurs la plus... mémorable. Profitez bien !". Toute la classe se dirigea vers une caisse en métal contenant lesdits engins de torture. Il y’avait des godes de toutes tailles, couleurs, textures ou formes. Ma sœur tenta vainement d’attraper un gode mais une foule de mains féminines arriva avant elle. Le temps que mes deux compagnes reprennent leur esprit, il ne restait plus beaucoup de godes. Lucie se pencha au fond de la boîte et en retira deux équipements. Le premier était double : il permettait à la femme d’obtenir une pénétration vaginale lorsqu’elle pénètre son partenaire masculin. A chaque mouvement, le gode de la porteuse lui offre une intense stimulation vaginale. La taille du gode était plutôt imposante, je dirais 25 cm insérables. Comment allais-je pouvoir me prendre ça dans le cul ? Le second gode était noir de jais. La taille plus raisonnable était tout de même impressionnante : 17 cm. Son ...

... diamètre était infernal : 7 cm. Apparemment, ce gode avait l’air un peu spécial : une petite poire était incrustée à la base du phallus artificiel. Lucie comprit rapidement de quoi il s’agissait. "C’est un gode éjaculateur ! Il contient du simili-sperme dans la poire ! lança-t-elle". Les deux coquines se répartirent les engins du plaisir : Miléna prit le double gode et Lucie le gode éjaculateur. On se redirigeait alors vers notre table et Stéphanie nous priait d’utiliser le lubrifiant présent sur nos paillasses. Miléna approcha deux doigts enduits de lubrifiant de mon anus. Elle étala lascivement le liquide souple sur mon orifice anal. Des frissons d’appréhension parcoururent alors mon corps. Lucie se plaça ensuite devant moi et dit : "Avant de souffrir, je vais t’offrir une petite branlette digne de ce nom." Elle me fit asseoir sur la chaise longue sans accoudoirs présente à chaque table. Elle hésita un moment puis se tourna vers Miléna. "Tu veux bien l’initier doucement à la sodomie pendant que je le suce ? demanda-t-elle. Ma sœur acquiesça sans hésiter. Elle s’assit derrière moi et approcha sa main de mon rectum. Pendant ce temps, Lucie commença doucement à me sucer le pénis. Mais, je ne sentais que les doigts de Miléna dans mon orifice anal qui titillait doucement mon intimité. Ces nouvelles sensations me firent éjaculer rapidement sur le visage de Lucie. La blondinette s’essuya le visage puis sortit de sa poche un accessoire auquel j’aurais préféré échapper : des menottes. ...