Belle fille(s) (10)
Datte: 19/06/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
Belle fille 10 La nuit dernière, nous avons fait l’amour Aurélie et moi. Cette fois, elle a pu jouir. En effet, j’ai su me contenir pour cela. C’est avec la bouche qu’elle m’a ensuite emmenée à l’extase. Ma chérie a tout avalé ma semence et nous nous sommes endormis en faisant un gros câlin. À mon réveil, je constate qu’elle dort profondément et préfère la laisser récupérer, pour aller faire ma toilette. Après quoi, je lance un regard vers le lit et vois ma belle toujours endormie. Sa position sur le ventre m’offre le spectacle de sa croupe et je ne me lasse pas de la regarder. Je descends à pas de loup et consulte mon téléphone. Pas de nouvelles de mon épouse Brigitte, la mère de mes amantes. Je m’interroge sur son silence. Elle, d’habitude si prolixe dans ses messages, ne donne pas beaucoup de nouvelles de son séjour chez sa sœur. Pour penser à autre chose, je m’applique à arroser le jardin, tant que le soleil n’est pas trop fort. Enfin mon amour apparaît, Elle a enfilé une culotte noire qui laisse apparaître une bonne partie de son abondante toison blonde. En haut, elle porte un tee-shirt sans manche qui moule sa poitrine. Mes yeux se portent involontairement sur ses tétons dressés sous le tissu, avant de se reporter sur son visage. Une nouvelle fois, je perçois un rayonnement quasi surnaturel qui émane d’elle. Je suis fasciné à chaque fois que je la regarde ! Je m’approche pour l’embrasser, mais elle se défile pour dire : - Oh non ! Je dois avoir une haleine de chacal ! ...
... - Je m’en moque, approche ! Je n’éprouve aucune gêne à l’embrasser et, de bon matin, me revoilà avec une bandaison dans la poigne de la coquine. Elle glisse sa main dans mon short et part à la recherche de mon gland gonflé. Moi, je glisse la mienne entre ses jambes et frôle son clitoris bien sensible. Nos langues ne se délient pas quand je la pose sur la table de la terrasse. En un tour de main, elle a ouvert ma braguette pour se saisir de mon membre et le guider vers son entrejambe. Debout, je la prends, alors qu’elle est au bord de la table, les jambes relevées. Elle a gardé sa culotte qui frotte sur ma hampe quand je vais et viens en elle. Je lui ôte son haut pour me délecter de sa poitrine, sans cesser de faire coulisser ma verge dans son antre. Elle me souffle à l’oreille : - Frappe moi les fesses, s’il te plaît ! Sa requête me paraît saugrenue. Jamais je ne lui ai donné de fessée. Ni à elle, ni à sa sœur. Je répugne la violence, surtout vis-à-vis des femmes ! Constatant mon indécision, elle se saisit de ma main sur sa hanche et imprime le geste qu’elle attend de moi. Si mon mouvement n’est pas pertinent pour lui claquer la fesse, je comprends aisément qu’il me faut franchir un pas de plus dans la débauche. Non, je suis trop coincé ! Il me fauts toutefois, réussir cette épreuve pour découvrir d’autres choses. Ma première claque est timide, mais elle roucoule ! J’y vais un peu plus fort à la deuxième et là, ça lui plaît davantage. Elle se tortille en geignant de bonheur ...