Super-X - Histoires de Sexe

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... leurs yeux flambait à présent une lueur lubrique. De l’autre côté de l’écran translucide, Léa, penchée vers moi, me regardait un sourire au coin des lèvres. Je retins un haut-le-coeur. Elle m’avait piégé ! Elle m’avait même baisé dans les grandes largeurs ! J’agis sans réfléchir, laissant parler mon dégoût : je basculai ma chaise en avant, le plus loin possible, et lui crachai au visage. La fureur fit vaciller ses traits. Alors que ses yeux lançaient des éclairs, elle essuya ma salive et porta ses doigts à sa bouche, les léchant lascivement. Un garde que je n’avais pas vu leva son arme pour m’asséner un coup de crosse. — Inutile ! fit Léa, levant la main pour l’arrêter. Dans certaines circonstances, je trouve ça plutôt excitant qu’on me crache à la gueule… À côté d’elle, Donnadieu desserra sa cravate. La température venait de monter d’un seul coup. Le directeur prit enfin la parole, s’adressant à Léa sans me quitter des yeux. — Un travail d’infiltration remarquable, colonel Finckel. Exécuté de… main de maître, dit-t-il d’une voix qui tremblait légèrement.— Merci, Monsieur. Je n’ai fait que mon devoir.— Et cette organisation qui n’existe pas, "Amour Libre" ! Un véritable coup de génie ! ajouta l’autre gradé, tout en couvant Léa du regard.— Pour Tardivon, depuis combien de temps saviez-vous ? reprit Donnadieu.— Seulement depuis ce matin. Je l’ai repéré dans la salle d’attente, Monsieur, fit Léa. Mais ce n’est qu’en m’introduisant dans son simulateur que j’ai compris à quel ...

... point il était dangereux. Ensuite, j’ai improvisé toutes ces salades pour le pousser à se démasquer. Le garde, une brute au front bas et au nez tordu, s’adressa au directeur : — Et maintenant, qu’est-ce qu’on fait ?— Le ministre a été clair. Secret absolu… Tardivon ne doit pas parler. De violents picotements explosèrent dans tout mon corps. Pour protéger leurs magouilles, ces salopards allaient me supprimer, invoquant la raison d’état ! — Peut-être qu’on pourrait simplement effacer ses souvenirs, proposa Léa, incertaine.— C’est risqué. Il en sait beaucoup trop, répondit Donnadieu. Et il y a bien plus simple et efficace… Yvon ? Un sourire de prédateur sur le visage, le garde pointa son pistolet vers mon front. — Non ! Attendez ! intervint Léa. Monsieur, avant qu’on ne l’expédie ad patres, j’ai encore un petit compte à régler avec Tardivon. Léa se leva et fit le tour du bureau. Me tenant par le menton, elle me fixait droit dans les yeux, avec une intensité minérale. Soudain, elle défit le zip de sa combinaison jusqu’au pubis, libérant d’un seul coup sa fabuleuse poitrine. Ses globes de chair focalisèrent aussitôt l’attention de l’assemblée. Sous son justaucorps de latex, elle était nue. — Sympa notre petite séance, dans ton simulateur. Tu peux pas imaginer à quel point ça m’a fait mouiller de te sucer, en sachant que je t’envoyais au casse-pipe… Joignant le geste à la parole, elle glissa lentement deux doigts dans sa chatte, qui ressortirent gluants de sécrétions. Les sbires du ...