1. Un voyage vers de nouveaux plaisirs (1)


    Datte: 09/11/2017, Catégories: Hétéro

    # Sa première sodomie Nous décollons, elle est à côté de moi, souriante, la terre s’éloigne tandis que nous partons pour Prague. Ses yeux noirs me couvent, ses mains me recherchent, je la sens heureuse de voyager avec moi, de visiter un nouveau pays avec moi et d’aller découvrir ensemble des horizons qui nous sont inconnus. Je l’admire. Son visage doux aux traits fins est entouré par ses longs cheveux noirs où naissent des boucles fines, les avoir relâché lui va à ravir et mettent en avant ses beaux yeux noirs au parfum d’orient. Ses lèvres sont charnues et laissent deviner ses fines dents blanches. Elles ne sont pas parfaitement droites, mais cela ne la rend que plus charmante. Je l’embrasse, je sens sa bouche s’entrouvrir pour accepter ma langue pendant que je passe ma main dans ses cheveux pour la rapprocher de moi. Après un moment nous nous séparons, l’équipe de bord ne serait surement pas ravie qu’on s’envoie en l’air en même temps que l’avion. Je m’éloigne d’elle, mais laisse ma main sur sa cuisse, tandis qu’elle pose la sienne sur ma cuisse tout en cherchant autre chose. Je me sens durcir, le trajet va être long, je le sens, elle aime me taquiner et rien n’arrive à la convaincre d’arrêter. Nous arrivons enfin à Prague, je n’en peux plus, vivement que nous arrivons à l’hôtel. La douane nous laisse filer très rapidement, rien que pour ça j’adore l’Union européenne et nous sortons de l’aéroport pour rejoindre le centre-ville. Nous choisissons l’itinéraire qui semble le ...
    ... plus simple et le moins cher, le métro. Notre voyage se poursuit et j’espère que d’ici trente minutes je pourrais enfin faire disparaitre cette envie brûlante qui me tiraille le bas ventre, je me sens plein, je n’en peux plus. Mais ce sera visiblement pour plus tard, alors que nous sommes dans le train, que je suis chargé comme une mule et le métro bondé, je sens sa main contre moi, me caresser et surtout caressant ma braguette et ce qui se trouve dessous, je n’arrive plus à me concentrer. Nous loupons notre arrêt. Nous sommes perdus. Le temps presse… Nous sortons du métro et hélons un taxi, qui n’a pas l’air des plus officiels, il est rouge, mais ce n’est pas vraiment volontaire, ce n’est qu’un tas de rouille. Je n’ai pas la tête à négocier, je veux arriver à l’hôtel, j’accepte son prix et nous montons à bord. Le taxi qui m’affirmait connaitre la route, ne semble plus tant la connaitre, nous passons puis repassons dans les mêmes rues, je m’impatiente. Le taxi le voit et ma copine le sent surtout. Enfin ! L’hôtel, je sors les papiers, ma réservation, mon passeport, mon argent et attends les clefs. Je crois que la réceptionniste veut mourir. Elle m’explique que nous devons déjà remplir un formulaire. J’ai envie de lui faire avaler son papier et de lui enfoncer dans le gosier en poussant avec le stylo qu’elle me tend comme une oie avant noël. J’attrape sa plume en essayant de ne pas la briser en deux, depuis 4 heures celle qui m’accompagne me chauffe, j’ai besoin de m’éteindre en ...
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