1. La tentative réussie


    Datte: 20/06/2021, Catégories: fh, fplusag, couple, grosseins, vacances, hdomine, Oral pénétratio, fsodo, confession,

    ... en moi. Je ne peux comprendre cette sensation qui m’envahit. Nous sortons de l’autoroute. Il fait encore jour, nous roulons depuis quatre bonnes heures. Il reste 1 h 30 de route, il faut que je me lance. Nous y sommes presque, à peine quelques kilomètres. — Tu veux qu’on s’arrête boire un coup ?— Oui, ce serait pas mal, j’ai soif. T’as une idée ? Il n’y a pas grand-chose d’ouvert.— Oui, je ne sais pas. Écoute, on verra bien en route, on va bien trouver quelque chose.— Avec plaisir. La tension est à son comble, je me sens transpirer, j’ai les mains moites. On y est presque, vingt kilomètres, à peine quelques minutes et on sera fixés. Je ralentis, j’aperçois la pancarte, je me lance : — Et si on s’arrêtait là ?— Où ça, là ?— Ben là ! Accompagné d’un signe de la tête, je désigne la pancarte qui grossit doucement. — Non, mais je rêve. Tu ne perds pas le nord. Tu l’avais prémédité.— Non ! dis-je en riant.— Tiens ! Mon œil ! Tu me prends pour une conne ? dit-elle en riant.— Mais non, mon cœur, tu me connais.— Oui, trop bien. De toute façon, ils sont sûrement fermés. Même les obsédés prennent des vacances, dit-elle en éclatant de rire.— Ah bon ? Tu crois ? Moi je n’en prends jamais… Puis je tourne pour entrer sur le parking où déjà stationnent quelques voitures, de toutes marques et de toutes catégories. — Tu vois, eux non plus ne prennent pas de vacances.— Pfff ! L’atmosphère devient soudain pesante, lourde à mourir. Je me gare, coupe le moteur, regarde ma femme qui regarde le ...
    ... bâtiment, dubitative. — Bon, ben, on y est, dit-elle d’un ton excédé. Je te préviens, le premier qui me touche, je lui pète sa gueule. Le ton est donné. Va falloir marcher sur des œufs. Comme dirait l’autre : «ça va être chaud patate». Chose que j’avais complètement zappée, c’est le coup du casier qu’on vous donne pour que vous puissiez vous changer. Quand ça m’est revenu, j’ai été pris d’une bouffée d’angoisse, j’ai cru défaillir. Mais bon ! Elle est sortie de la voiture, prête à y aller. Je risque plus rien, de toute façon les jeux sont faits. Nous nous dirigeons vers l’entrée, je sonne, une femme ouvre : — Bonsoir messieurs-dames.— Bonsoir.— Entrez.— Merci. Je laisse entrer Mathilde la première. — C’est la première fois ?— Oui, dis-je. Ça se voit tant que ça ?— Vous inquiétez pas, on a l’habitude. Faut un commencement à tout. Et là, Mathilde , — Oui ! Et une fin aussi ! dit-elle sèchement, en me regardant. Je me suis senti m’effondrer. La dame a ri aux éclats. — Bon ! L’initiative vient de Monsieur, apparemment. C’est souvent le cas. Je vais donc m’occuper de vous. Suivez-moi. Nous suivons donc cette femme qui porte un minishort noir avec une fine bande de strass sur le haut, laissant voir le galbe de ses fesses. En haut, un top à paillettes attaché derrière le cou avec un décolleté vertigineux et, entre les deux seins, un joli petit pendentif, le tout se terminant par une paire d’escarpins relativement hauts. C’est au moment où elle nous donne les clefs des fameux casiers que ...