Comment je suis devenu professeur de sexe
Datte: 09/11/2017,
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Cela s’est passé en novembre 2006. Je sortais d’un gros projet et j’avais besoin de refaire mes énergies. Afin d’être certain de pouvoir passer une véritable semaine de repos, j’avais décidé d’aller au soleil, seul, sans pression de mes amis, ceux-là mêmes qui font que les vacances sont très divertissantes mais jamais de tout repos. C’est ainsi que je me suis retrouvé en République Dominicaine. J’étais arrivé le samedi en fin d’après-midi et après m’être installé, j’étais allé souper avant de me retrouver au lit avec un bon livre. Lors de mon arrivée et le lendemain, la température n’était pas particulièrement idéale. Nuageux, venteux, température aux environs de 23 degrés. C’est mieux que Montréal à cette période de l’année me direz-vous, mais ce n’est pas la température à laquelle on s’attend lorsqu’on se rend là-bas. On m’expliqua que tout cela était dû à une tempête tropicale au large de l’île et qu’en fonction du temps qu’elle mettrait à se calmer, la température pourrait être similaire pour quelques journées. Dans le fond, j’étais là pour récupérer et me reposer. Mon bronzage était le dernier de mes soucis et je ne suis pas vraiment le genre à faire la crêpe au soleil. Quel genre suis-je, me direz-vous ? Commençons par une petite description physique. J’étais alors âgé de 38 ans, 5 pieds 8 pouces (1,73 m) pour 165 livres (75 kg), les cheveux bruns, yeux bruns avec un physique pas mal du tout pour mon âge. Après avoir passé la journée du dimanche à visiter les environs ...
... en scooter, je me suis levé tôt le lundi et suis allé prendre une longue marche sur la plage avant le déjeuner (le petit-déjeuner pour nos amis européens). Il faisait un peu plus chaud et on voyait presque le soleil à travers les nuages cette fois. Après avoir mangé, je suis retourné sur la plage avec mon roman et j’ai trouvé un petit coin à l’abri de la brise où on retrouvait quatre chaises regroupées deux à deux avec une petite distance entre elles. Après une trentaine de minutes, deux jeunes filles sont venues s’asseoir près de moi. Il s’agissait de deux Québécoises qui parlaient français. Très rapidement, mon attention a été attirée par leur conversation. Il faut savoir que le livre que je lisais alors était en anglais et pour cette raison, les filles n’ont peut-être pas pensé que je comprenais leur conversation. — Bon, tu n’as presque rien dit depuis que tu es debout. J’ai rien demandé encore mais là il est temps. Je veux savoir. Raconte-moi comment ça s’est terminé hier soir.— Y’a pas grand-chose à raconter.— Comment ça ?— Parce que…— J’en conclus que ça n’a pas bien été mais tu n’as pas à être gênée, il faut qu’on s’entraide.— Bon d’accord. Quand tu es partie te coucher, nous sommes partis du bar pour aller marcher. Rapidement, je me suis retrouvé dans ses bras et on s’est embrassé. Ses mains parcouraient mon corps et j’étais mal à l’aise. C’était évident que j’avais affaire à quelqu’un d’expérience. Plus ça allait, plus mes idées tourbillonnaient dans ma tête et je ...