1. DialNet - Round 7


    Datte: 21/06/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Hardcore, Inceste / Tabou

    ROUND 7Truica a laissé s’égrainer les jours sans s’adonner à ses habituels excès jusqu’à être rendue au mardi 14, veille de son mystérieux rendez-vous. La curiosité de s’y rendre est forte mais le risque associé la tempère. Jusqu’ici, elle a toujours gardé le contrôle et sortir du confort du virtuel peut rapidement devenir un voyage sans retour. Après une intense réflexion, elle en arrive à la conclusion qu’elle n’est pas prête à sacrifier sa petite vie bourgeoise et confortable ni sa famille pour assouvir ses pulsions. C’est sur ces pensées affirmées qu’elle s’endort même si le sommeil est ensuite long à venir.La nuit porte t’elle conseil ?Difficile à dire mais maintenant que le jour fatidique est arrivé – et malgré toutes ses bonnes résolution - Truica est à nouveau taraudée par l’envie de se rendre dans la mystérieuse usine. Elle a 52 ans et elle est une vicieuse masochiste qui se réfrène par peur de perdre ce qui constitue finalement sa petite vie médiocre. Et si cette prise de risque était finalement ce dont elle avait besoin pour enfin vivre pleinement ?Une boule d’anxiété lui noue le ventre mais une autre de pure excitation lui vrille le corps. Contre toutes attentes et à sa propre surprise, Truica s’isole, décroche son téléphone, appelle le boulot et explique qu’elle ne viendra pas aujourd’hui car elle ne se sent pas bien. C’est suffisamment rare pour que personne ne lui pose de question. Elle quitte ensuite son domicile en embrassant ses enfants comme si elle ...
    ... allait travailler.Elle décide de passer la matinée à repérer les lieux. Bien lui en prend car elle perd plus d’une heure à trouver comment accéder à l’usine qui se trouve au fond d’une friche abandonnée desservie par un chemin défoncé qui tient plus de l’assemblage d’ornières que d’une route. Une fois devant le bâtiment, elle prend conscience de deux faits : d’une part, l’unique chemin d’accès et son état lamentable rendront les choses compliquées pour le cas où elle devrait s’enfuir et d’autre part, son véhicule garé devant la façade principale est visible comme un poil sur le cul d’une hardeuse.Dans sa petite voiture avec son tailleur et son chemisier, elle se fait l’effet d’une aventurière du dimanche confrontée à une menace mortelle.Il est 11h45. Elle décide d’aller se garer sur le côté gauche de l’usine en prenant soin de mettre sa voiture dans le sens du retour « au cas où » puis elle cherche un accès pour s’introduire dans la bâtisse. Après dix minutes de galère à se tordre les chevilles à cause de ses escarpins, elle parvient à se faufiler entre deux planches disjointes puis maudit sa stupidité en constatant que la pitoyable aventurière qu’elle est n’a même pas pensé à amener une lampe. Au bout de quelques minutes, ses yeux s’habituent à la pénombre relative. En outre, l’ensemble du plafond est composé de vitres immenses qui - couplés au soleil radieux - éclairent suffisamment l’intérieur pour qu’elle progresse sans risque de chuter dans un trou.En dehors de pièces ...
«1234...»