Le club des nymphes - tome II (28)
Datte: 21/06/2021,
Catégories:
Hétéro
... Il s’est présenté ; je pouvais enfin mettre un nom sur le visage qui allait devenir mon plus grand amour. Et maintenant, moins de deux ans après, me voilà fiancée à cet homme merveilleux ! Je vais l’épouser et je fonderai une famille avec lui. Je n’en espérais pas tant ce jour-là. Assis sur une chaise, il me scrute alors que je fais glisser ma robe le long de mon corps. Je le fixe de mes yeux félins ; il me regarde avec appétit. Lentement, j’enlève mon soutien-gorge, puis maculotte que je fais descendre doucement le long de mes jambes. Lui se déshabille, mais avec impatience. Ceci fait, il se tient prêt, le sexe dressé. Je m’avance doucement,caresse sa chair gorgée de sang, dégage son gland de sa prison de peau et finis par m’empaler lentement. Centimètre après centimètre, je sens son membre progresser. Je pousse un soupir de bien-être. Je me colle à mon homme et coulisse sur son pénis. Ses mains me caressent. Ses lèvres m’honorent. Chacun de ses doigts posés sur ma peau m’électrise. Une béatitude m’envahit à chaque fois que je sens saverge profondément en moi. Je suis tellement euphorique de faire l’amour avec lui… Mon état émotionnel est tel qu’il l’est lorsque l’on couche pour la première fois avec un nouveau partenaire : tout est tellement plus intense ! Dans un sens, je ne l’ai fait qu’avec mon petit ami ; c’est la première fois que je le fais avec mon fiancé. Tandis que je coulisse encore sur sa hampe et que Thomas m’embrasse la poitrine, je ...
... tends ma main gauche et observe la bague qui magnifie mon annulaire. Je me rends compte que je n’avais pas pris le temps de regarder à quoi elle ressemble, plus émerveillée par ce qu’elle représente que par la beauté du bijou. Et c’est un magnifique bijou : une petite pierre taillée incolore posée sur un fin anneau doré. C’est le symbole de notre amour, c’est la promesse qui nous relie l’un à l’autre. Je passe mes doigts dans ses cheveux désordonnés tandis qu’il continue de rendre hommage à ma poitrine. Sa langue et ses mains jouent avec mes tétons durcis par le plaisir. Je gémis. Notre accouplement a vraiment un goût exquis. Thomas est de plus en plus essoufflé. Il est près de lajouissance. Je me donne à fond pour nous faire venir ensemble. Dans mon ventre, je sens son phallus tressaillir et éjecter son nectar d’amour. Mes membres entrent en résonnance, mes sens s’affolent et mes veines me brûlent. Nous rugissons notre bonheur ensemble. Je viens de jouir, mais quelque chose d’autre se produit. Mes émotions, au lieu de descendre, continuent à aller crescendo. Je ne contrôle plus rien et me retrouve débordée. D’un coup, je craque, fonds en larmes et me jette dans ses bras. — Qu’est-ce qu’il se passe ? J’ai fait quelque chose de mal ? Je t’ai fait mal ? s’inquiète-t-il. — Non, sangloté-je. C’est juste trop fort ; il fallait que ça sorte. — Qu’est-ce qui est trop fort ? — Mon bonheur. Ce sont des larmes de joie ! Thomas rit, puis pleure avec moi. FIN