Je déniaise le (beau) fils de ma meilleure amie. Chapitre 4. Maintenant elle veux en profiter aussi
Datte: 21/06/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
... Je positionne ma bouche devant cette barre tendue à l’horizontal qui semble douée d’une vie propre. Je veux positionner mes deux mains sur son engin mais Julie ne l’entend pas de cette oreille et s’agenouillant à coté de moi veut aussi sa part du mandrin prêt à éjaculer. Sa queue géante est encore aussi dure qu’un véritable bout de bois, nos mains en font à peine le tour, surtout à la base de son nœud, loin s'en faut. Nous le branlons ensemble comme des furies, les lèvres de l’une excitent le méat prêt à cracher pendant que la bouche de l’autre gobe les œufs chargés de laitance l’un après l’autre. -Je vais tout lâcher ! Jette-t-il en grognant. Il éjacule enfin une dose encore conséquente de sperme sur la face de Julie qui détourne sa lance de pompier pour diriger le jet suivant sur moi, une grosse dose de foutre un peu moins épaisse que lors de ses premières craches de cette baise sans fin macule nos visages. Il commence à s’épuiser le fiston. Nous nous nettoyons mutuellement avec applications et plein d'ardeur. Nos langues une fois fini se retrouvent pour un baiser fougueux entre filles. Nous ne voulons pas perdre la moindre goutte de son nectar légèrement salé. Je suis si excité que j’ai le front brûlant et comme une hystérique n’ai qu’une envie, qu’il me reprenne encore et encore… Je touche mon anus, il est grand ouvert, encore béant de ce qu’il a subit, trois de mes doigts s’y glissent sans aucune difficulté ! Sa virilité est en berne et malgré nos efforts, il lui faut ...
... presque dix minutes pour relever la tête. Claude commence à fatiguer, il faut dire que ça va bientôt faire trois heures que nous nous acharnons sur lui. Je suis toujours en admiration devant la puissance qui s’exprime dans cette excroissance qui affole les femmes. Sa verge arrive enfin à retrouver sa raideur si surprenante mais nos ébats si rapprochés ont fini par la faire enfler. Sa teub a maintenant un diamètre si monstrueux que j’ai peur qu’on soit aller trop loin avec lui, je le fais remarquer à Julie mais elle ne veut rien savoir et, têtue, me rétorque : -Il n’a pas encore les bourses vides, on est tous fatigués mais comme je vous l’ai dis au début, nous n’arrêterons que quand sa queue n’en pourra plus ! Elle se retourne vers Claude étendu sur le dos et le chevauche, la jambe gauche repliée en appui sur sa cuisse droite et le pied de l’autre jambe sur le lit, saisit la teub à deux mains pour la tenir à la verticale et lentement pliant le genou gauche, se mordant la lèvre inférieure, s'empale sur le pieu dont la hampe est devenu monstrueuse. Je la vois grimacer et il lui faut de nombreux va-et-vient pour s'empaler complètement sur l'énorme bite enflée qu’elle ne peut absorber complètement. Une bonne dizaine de centimètres ne peuvent s’introduire dans la grotte distendue. Elle ondule sur ce pivot, montant et descendant prudemment, les yeux fermés. Le spectacle de ce gigantesque poteau écartelant la petite moule imberbe de Julie remplit ma chatte d’un flot de cyprine. Claude, ...