Eté 2018 Voisins voisines - Maria raconte sa vie
Datte: 21/06/2021,
Catégories:
Hardcore,
Première fois
Partouze / Groupe
... entrailles, tandis que je caresse mes seins en gémissant de désir, devant eux, foufoune à l’air, écartelée…On échange les rôles de temps en temps, je suis plus large de bassin à cause des grossesses, mais mes seins sont restés attirants.Ma foufoune, je l’ai taillée avec le rasoir du Père, Peppo me l’avait demandé…Il la photographie parfois, au soleil…Il me prend aussi avec Tante, sa poitrine opulente que je caresse, sa chatte noiraude en bataille qu’elle présente à mes lèvres, et parfois il demande à Tante de nous photographier en pleine action tous les deux, son gros dard enfoncé en moi…Puis on échange, moi l’appareil, elle Peppo, pour pauser et se faire sauter…Il dit qu’il n’a pas de portable ici pour sortir les fichiers… Je ne comprends pas tout…Le lendemain, Peppo mourrait…Mère était atterrée…Je pris l’avion, puis une voiture de location…Elles étaient tristes, mais ils s’y attendaient.J’assistais aux obsèques, les soutins, le maire aussi, le fils entrepreneur, était vachement beau, de mon âge…Emilio était là, dans un beau costume noir. Ils n’avaient pas pu joindre le grand frère, ni leur sœur au japon…Contre toute attente, une bonne partie de ses amis vinrent nous soutenir…« Les amis de Peppo », chez nous, sachant combien nous avions été proches de lui et l’avions aimé… De véritables amis…Emilio se retira pour retrouver sa mère, il me dit qu’il repasserait m’embrasser demain avant qu’on s’envole tous les deux vers nos nouvelles vies…Les autres le suivirent, condoléances ...
... obligent…Le fils du maire, l’Entrepreneur, resta avec nous, nous faisant la conversation, nous étions un peu fatiguées…Quand mère se coucha, vidée et triste, Tante l’accompagna en disant aurevoir au jeune homme…Nous les regardâmes monter jusqu’à ce que la porte se referme…Fils s’approcha pour me remercier du repas et m’embrasser…Ce fut immédiat, comme un coup de foudre !Ses lèvres finirent sur les miennes…Ses mains soulevèrent ma robe noire, le volcan allait se libérer…Il me prit debout derrière la porte d’entrée, puis sur la table de la cuisine, on sortit à cause du bruit, et on recommença dans la grange, jusqu’au matin…J’avais eu des tas de relations sexuelles diverses et variées, consenties ou non, protégées ou non, professionnelles, tarifées ou commerciales, et je n’accordais plus guère d’attention à ma libido, enfouie au 10ème degré…Je baisais par habitude, rarement par désir pur…Je me gardais pour plus tard, en France. Pour mon mari.Mais là…Un phénomène ce garçon, sexe énorme, des bras puissants, un visage d’ange, des yeux verts déconcertants… Je comprends Tante…Il me démonta, me poussa au bord de l’asphyxie, me reprit dix fois, partout, même dehors dans sa voiture, pour le raccompagner et croiser le Maire à mon retour, que j’évitais de justesse, me piquant mes fesses dans les orties…J’étais défaite, ruinée, les yeux avec de gros cernes marrons, la chatte en berne, le derrière rougi et douloureux…Mère et Tante sourirent…- Ah, toi, tu as connu le loup…- Ma foi quel bel ...