1. Le jour de l'an


    Datte: 21/06/2021, Catégories: fh, ffh, fête, hsoumis, miroir, Oral 69, pénétratio, yeuxbandés, confession, entrecoup, extraconj,

    ... Mets le gros. Je suis certain qu’il va passer. Pascal pour un peu aurait crié pour conseiller sa femme. Je louche pour voir, moi aussi. Après tout, c’est ma femme que le couple tente de pervertir. Mais Adèle n’est pas comme moi. Moi, j’étais demandeur, toujours insatisfait de mes rencontres d’un soir, cherchant malgré les jouissances physiques ce qui manquait à mon bonheur. Et si je me trompais ? Et si elle aussi n’était pas satisfaite… Le sextoy que saisit Sandrine n’est pas le plus gros. Elle l’enduit de salive. Voir les boules de geisha ressortir une à une, comme à regret, est si érotique que je sens ma queue à l’étroit dans mon pantalon. — Oui, chérie, prépare-la-moi. Pascal est dans son trip. Il pense que ma femme va se laisser faire avec le Rabbit. Pire, que cela est juste une étape. — Oui c’est bien. C’est bien. Je ne peux m’empêcher de regarder, de voir la bite bleu, couleur étonnante probablement pour désacraliser ce genre de jouet, avancer et disparaître jusqu’à ce que la base porte la partie externe vers le petit bouton. — Ohhhh. Son foutre jaillit sans prévenir. Il m’inonde, me remplit la bouche de sa crème odorante. Le salaud, il a réussi à se retenir pour être synchrone avec le gode vibrant qui baise mon épouse, une façon de marquer son savoir-faire avec celui de sa femme. Il se vide en pays conquis. Il envisage déjà d’en conquérir un autre. Après le mari, la femme. — Ne bouge pas. Profite de la leçon. Il ouvre la porte qui donne dans la salle de bain. Mes ...
    ... pensées chavirent. Je ne peux tout de même pas le laisser faire. Moi aussi, je vais aller dans la chambre, détruire cette ambiance de sexe que cette perverse de Sandrine a mis en place. Pour l’instant ce n’est qu’un jeu un peu poussé entre femmes. Nul doute que tout ce que nous avons bu obscurcisse notre jugement et fasse tomber des barrières. Ma femme a démarré très vite avec le champagne, j’imagine pour se mettre au plus vite dans l’ambiance et se sentir partie prenante du groupe d’amis alors que nous étions les nouveaux. La porte se referme. Je me lève, retrouve un peu de la dignité d’Alain laissant Alice s’essuyer la bouche avec son mouchoir. Si je dois aller dans la chambre au moins que je sois « net ». Cela la « foutrait » mal si je surgissais en époux bafoué avec des traces évidentes de ma faiblesse. Je vais ouvrir la porte. J’hésite encore. Non, pas par la salle de bain ! Il faut que j’arrive par celle du couloir, sinon cela va étonner Adèle, même si mon arrivée va produire un choc. Mais, et si Sandrine ou Pierre m’en voulaient de détruire ce qu’ils considèrent comme un jeu de séduction, jeu pervers, mais dont ils sont si fiers ? Et s’ils disaient la vérité ? S’ils me rabaissaient aux yeux de ma femme ? Comment accepterait-elle de savoir son mari amant du couple, amant de la femme, mais aussi du mari, si impliqué qu’il cède avec délice à leurs envies allant jusqu’à le transformer en soumis ? Soumis à leurs volontés, mais aussi soumis à ses propres fantasmes. Tant pis. Elle ...
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