1. Le jour de l'an


    Datte: 21/06/2021, Catégories: fh, ffh, fête, hsoumis, miroir, Oral 69, pénétratio, yeuxbandés, confession, entrecoup, extraconj,

    ... cherchant probablement à retarder le moment où il faudra le prendre en bouche. Une main ferme, celle de Pierre qui fait comprendre qu’il en veut plus. Des lèvres qui s’ouvrent, qui s’écartent et qui prennent elles aussi la mesure de ce qu’elles doivent faire pour que… le gland… oui, faire que le gland disparaisse dans la bouche. Et ce geste de l’homme, le pouce levé dans ma direction, geste de triomphe qui m’est dédié. C’est comme si Pierre me parlait : « Tu vois, je t’avais dit. Elle n’est pas coincée. Il lui faut juste des conditions particulières. » Le salaud, il a presque gagné le pari. Il est trop tard pour que je me dresse sur son chemin. Le mal est fait. J’ai honte de ne pas avoir osé m’interposer plus tôt. Mais, me dit une petite voix,as-tu le droit de t’interposer ? Après tout il n’y a pas si longtemps c’était toi qui étais initié à ce genre de caresses. Et pour toi, sucer un homme était autrement transgressif. Leur approche a été différente, mais tu aurais dû y penser. Pourquoi n’as-tu pas refusé cette invitation. Tu craignais la partouze. Ils ont tenu parole, mais à aucun moment ils n’ont promis autre chose que :« Personne ne va manquer de respect à ta femme, si c’est cela que tu crains ».Et séduire une femme n’est pas lui manquer de respect. D’accord plus que la séduire, la mener là où ils veulent. Ils ont gagné, et arriver dans cette chambre, tel un mari cocu et bafoué, n’est pas la solution. C’est presque déjà trop tard. Trop tard, car tu sais la suite. Pierre ...
    ... ne peut que vouloir la posséder, car c’est comme mettre le mot « Fin » à leurs manigances. Oui, le mal est fait, mais après tout ce mal est peut-être un bien. Tu sais dorénavant qu’Adèle n’est pas si bloquée dans sa sexualité et que notre couple pourrait peut-être en explorer d’autres voies. Sandrine se redresse. Elle fait un geste à son mari, montrant le miroir, et disparaît par la porte de la salle de bain. Elle entre vers moi. Elle ne dit rien, juste un baiser et comme moi regarde de l’autre côté. Adèle fait de son mieux, mais le mandrin est bien trop gros pour elle. Elle le lèche plus qu’elle le pompe. Seul le gland arrive à tenir. La pauvre n’a pas mon expérience. Je sens une main sur ma braguette. Elle ne peut que sentir mon érection. Est-ce normal pour un mari de bander alors qu’il espionne sa femme ? Je ne sais pas. Pierre, oui, et c’est son pain quotidien. Moi, c’est une première. Mais aussi ce n’est pas qu’une simple baise, c’est bien plus fort avec les deux femmes d’abord et la suite… Le zip est vite ouvert. Ma queue vite extraite. Sandrine ne dit rien. Elle me branle doucement. De l’autre côté, Pierre a libéré la salope qui le suçait. Il l’a poussée contre le lit où elle s’allonge. Elle ne peut ignorer ce qui l’attend. D’ailleurs, à la façon dont elle se cale, ouvre les cuisses, elle est « résignée ». Résignée ? Non, inquiète peut-être, car elle demande : — Doucement, tu es très gros, alors que l’homme se place. Le « Tu es très gros » me fait un peu mal, car je le ...
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