1. Le jour de l'an


    Datte: 21/06/2021, Catégories: fh, ffh, fête, hsoumis, miroir, Oral 69, pénétratio, yeuxbandés, confession, entrecoup, extraconj,

    ... Service pressing, Madame. La maison ne recule devant aucun sacrifice pour satisfaire sa clientèle. Je replonge avant de croiser le regard de mon épouse. Consciencieusement je recueille au mieux ma liqueur, remontant lentement vers ce visage que j’ai peur de retrouver. Si elle est surprise, et je ne vois pas comment cela ne pourrait ne pas être le cas, elle ne dit rien. Si elle est choquée, et j’en ai peur, elle ne le dit pas. Si elle apprécie, et j’en doute, aucun signe. Je progresse. Au moins elle ne me chasse pas, dégoûtée de ce que je fais pour la première fois avec elle. La pauvre ne peut imaginer que ce n’est que « peccadille » comparée à ce que mes amants me demandent et que j’accomplis en bon « soumis » que je suis devenu avec eux. J’arrive à sa poitrine. Ma langue se fait curieuse, mes lèvres enveloppantes. Je découvre des tétons tendus, des lobes gonflés. Reste de baise ou nouveau désir ? La respiration est rapide. J’ose un regard. Elle a les yeux fermés. De mes doigts, je presse et tords délicatement les deux pointes grasses de foutre, que j’ai plus étalées que ramassées. Elle gémit. Oui, elle gémit. Pas de reproches. Pas de paroles humiliantes. Non, juste la réaction classique à cette caresse. Me voir lécher ma liqueur ne l’a donc pas choquée. Ouf ! Sauvé. On verra plus tard si elle aborde le sujet. Pour l’instant, je l’invite à se tourner. Voilà un mouvement qu’elle ne refuse jamais. Adèle aime se faite prendre en levrette. Plaisir pour elle. Plaisir pour moi. ...
    ... Mais aussi, cette tentation permanente avec la vision de son petit cul, surtout depuis que Sandrine me donne le sien et que moi je sais combien ce chemin peut être source de jouissance. Je la prends avec une bite qui semble ne pas avoir débandé. Et ce 30 décembre 2018, je laboure ma femme avec une ardeur nouvelle, marquant cette fin d’année de jouissances, certes familiales, mais partagées avec un amour que mon infidélité ne fait que renforcer jour après jour. ----------------------- Nous sommes les plus jeunes et manifestement tous les autres se connaissent. On doit être une vingtaine. Si je craignais une soirée libertine avec les femmes dans des tenues comme celle qu’Adèle a rapportée hier, je me suis trompé. Et ma foi, la robe de ma femme avec son décolleté et son dos nu, n’est pas loin d’être la plus légère. Mais sa silhouette le permet et le fuchsia lui va si bien en mettant en valeur sa peau claire. L’ambiance est agréable. Les vins délicieux, Pierre a manifestement ouvert sa cave. Après l’apéritif, on passe à table. Un extra nous sert. La classe ! Minuit arrive. Après l’échange des vœux, Adèle nous propose de descendre au sous-sol pour danser. Une grande pièce est aménagée. Tout le monde danse. Les couples se mélangent. Je crains le pire, mais non. Personne ne manque de respect à Adèle, même si avec le temps, la chaleur, l’alcool, la lumière qui me paraît faiblir au fil des morceaux, les corps se rapprochent. C’est valable pour tout le monde et ma foi pas désagréable. ...
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