1. VOYAGE DE FIN D'ETUDES 1


    Datte: 22/06/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... me pelotes dans les coins. » « Eh, déconnes pas avec ça dit il en se reculant, je plaisantais, moi » « moi aussi conno ! » « Bon je descends au bar, rejoindre les autres » « je me change et j’arrive. » Au bar l’atmosphère était déjà chaude, notre prof de compta, en tailleur et claquettes, était au bras d’un autre moustachu en costume et je mis un moment à reconnaître notre guide, qui dans l’ambiance, n’hésitait pas à passer sa main sous la jupe deDesplats, pour lui caresser les fesses, ou mieux. Nous étions une douzaine, travestis et maquillés comme des voitures volées, mais je dois reconnaître que Karine avait fait un bon boulot, nombreux étant ceux qui avaient du mal à me reconnaître. J’étais dans le hall quand Karine descendit. Je me dirigeais vers elle m’appliquant à une démarche qui fasse rouler mes fesses sous la jupe. Elle se dirigea vers moi et, me prenant par le cou, déposa un long baiser sur ma bouche, puis elle se recula un peu et, à quelques centimêtres me glissa : « là, je viens de lancer , non pas une , mais deux nouvelles rumeurs. La première est que je suis lesbienne, et la seconde, puisque tu n’es pas une femme c’est que je suis un trans. Quand tu te retourneras, tu verras le groupe de nanas qui espionnent, là bas. » Elle s’écarta de moi, avec un sourire, et s’éloigna de sa démarche souple, un nuage de parfum la suivant comme une escorte, une protection rapprochée. Je me retournais et vit un petit groupe dans lequel je reconnus Clara, Babeth, et quelques ...
    ... autres, qui détournèrent le regard. J’avisai alors Valérie, qui semblait attendre à l’entrée du restaurant, et m’approchais d’elle à petits pas. Elle se desintéressait de moi et eut un mouvement de surprise quand je posai ma main sur son épaule. « idiot, me dit elle, me reconnaissant enfin, tu m’as fait peur !. » « je t’ai eue, avoue » « ça oui, je croyais que tu étais la copine de la grande Karine ; » « et tu n’es pas la seule. » « possible, les rumeurs vont bon train sur elle. » Nous nous rendîmes au bar ou l’apéro allait bon train. Plusieurs couples dansaient déjà, et je fus rapidement invité par des clients, qui me serraient d’un peu trop près, leurs mains s’égarant souvent sur mon postérieur. Heureusement ceux qui voulurent me frotter d’un peu trop près , rencontrèrent une surprise qui leur fit faire marche arrière. Valérie,et ses amies riaient de nos déboires, nous expliquant qu’être une femme c’etait aussi cela. Cependant, elles eurent pitié de nous et nous invitèrent à leur tour. Je dois dire que c’était bien plus agréable, mais ses mains féminines caressant mes fesses, se glissant entre nous pour vérifier ce que je portais, provoquèrent une réaction qui ne tarda pas à se manifester soulevant le tissu.de la robe. Je m’échappais vers la terrasse extérieure, ou la nuit était tombée, pour griller une cigarette, le temps que mon excitation se calme.La place était déserte, et le fis un tour en fumant. Mais dans un recoin plus sombre, à l’étage au dessous, je découvris un ...