J'ai jouis quatre fois (II)
Datte: 23/06/2021,
Catégories:
Première fois
Après cela, elle courut, sous l’effet de l’excitation, vers la salle de bain et je mis ses ordres à exécution. Affichant un sourire béat, je marchais dans la maison, montais les escaliers afin de me rendre dans cet antre tant convoité. C’est ici même que dormais la belle Alina. C’est dans cet endroit sûrement qu’elle avait conçu son fils et qu’elle avait pris son pied seule ou avec des hommes. C’est ici même que son plaisir s’exprimait. Je me couchai lentement dans le lit. J’attendais, et plus le temps passait, plus mon pénis grossissait à la perspective de voir cette femme nue. Alina apparut par l‘entrebâillement de la porte quelques minutes plus tard durant lesquelles je m’étais amusé à malaxer mon sexe à travers mon pantalon. Elle s’était fait plus belle encore (si telle chose est possible) qu’elle ne l’était lorsque nous mangions ensemble. Elle avait vêtu une robe d’un rouge flamboyant qui traversait la pièce. Sa robe lui serrait le corps et était tellement proche de sa peau que ses formes ressortaient avec plus d’intensité. Le tissu tendu sur ses fesses peinait à ne pas craquer et même la forme de ses petits tétons étaient clairement perceptible au sommet de seins à la rondeur harmonieuse écrasés, compressés par cette robe qui semblait avoir été cousue pour son corps. Alina, certaine de l’effet qu’elle avait sur moi, se mit à danser sous mes yeux ébahis. Son corps, ses formes, ses courbes ondulaient et ma vision semblait trop peu puissante pour transmettre à mon cerveau ...
... la beauté de l’instant. Elle dansait, simplement, et l’excitation était extrême. Ses bras évoluaient dans l’espace et ses jambes, fines, sensuelles, bougeaient au rythme de la musique qui s’entendait également dans la chambre. Ses seins ballotaient à m’en donner des vertiges et ses fesses, qu’elle se plaisait de me montrer, vibraient. Toujours en bougeant son corps, Alina s’approcha de moi, se pencha et m’offrit une vue magnifique sur ses ronds, ses deux collines dont les traits étaient mis en avant par la robe. Elle effleura de ses doigts mon torse, saisit da mâchoire et m’embrasse à pleine bouche, longuement, dans un râle qui trahissait son excitation. Son genou entre mes cuisses, ma verge se retrouva en contact avec sa jambe à travers mon pantalon. Elle continuait de me pénétrer la bouche et de faire voyager nos salives à l’aide sa langue. Elle continuait ces doux baisers en les déplaçant tantôt sur ma lèvre inférieure, parfois dans mon cou, puis sur mon torse dont elle avait sauvagement dégagé le T-shirt. Sa tête désormais en dessous de la mienne, je ne percevais pas les infimes détails de ses gestes mais je sentais leurs effets sur mon corps et mon esprit. Elle s’attardai un petit peu sur mes tétons, ce qui eut pour effet de m’exciter davantage. Elle descendait dangereusement vers mon bas ventre et la chaufferie que devenait mon boxer était à peine supportable. A contrario, ses baisers humides le long de mon corps m’offraient de la fraîcheur. Avant qu’elle n’aille plus ...