1. Aurélie perd son pucelage avec ses patrons


    Datte: 23/06/2021, Catégories: fh, ff, ffh, fbi, jeunes, Collègues / Travail douche, noculotte, BDSM / Fétichisme facial, Oral 69, Partouze / Groupe fsodo, échange, champagne, init,

    ... j’avais déjà regardé des films pornos sur Canal, ce n’était pas pareil que de surprendre ses patrons en pleine action. Mais ça m’a aussi excitée, et en même temps j’avais peur que Marie et Pierre soient fâchés que je les aie surpris. Mais ça m’avait vraiment excitée, et je me suis quand même masturbée parce que ça m’avait donné très envie, et que j’aimais beaucoup me faire plaisir ; j’aime toujours énormément cela. Le lendemain, c’était un dimanche, j’étais un peu inquiète de ce que mes patrons allaient me dire, mais pas un mot de la matinée, ni au repas de midi, pas une seule allusion à ce qui s’était passé la veille. L’après-midi il y avait un match de rugby du tournoi des cinq nations à la télé et Pierre l’a regardé. Après avoir aidé Marie à faire la vaisselle et à ranger, je suis allée dans ma chambre pour lire et écouter de la musique. Je me souviens plus ce que je lisais, mais je me rappelle que j’écoutais un CD de Mylène Farmer. Marie a frappé à la porte de ma chambre, mais je ne l’ai pas entendue à cause de mes écouteurs dans les oreilles, alors elle a ouvert la porte. J’étais allongée sur mon lit et je lisais, mais j’ai vu la porte s’ouvrir doucement, alors j’ai enlevé mes écouteurs. Marie m’a demandé si je voulais bien discuter avec elle, je lui ai répondu oui. Elle a commencé par me parler de mon stage, si j’étais contente, si ça se passait bien. Elle a dit qu’ils étaient contents de moi, qu’elle me mettrait une bonne note si cela continuait comme ça. Je lui ai ...
    ... répondu que j’étais contente moi aussi, et je lui ai dit merci. Elle était assise à côté de moi sur le lit, je me souviens que j’étais en jupe avec un pull, et je crois qu’elle portait un jogging blanc. Elle s’habillait souvent comme ça les dimanches et lundis, jours de fermeture de la boutique, c’est-à-dire nos jours de repos. Je crois bien que c’était ça, parce que la fermeture de son haut était descendue assez bas, en dessous de ses seins, et je l’avais remarqué. Marie a une petite poitrine, et j’avais vu plusieurs fois qu’elle ne portait pas de soutien-gorge sous son haut de jogging, et ce jour-là, j’avais bien vu qu’elle n’en avait pas puisque je ne voyais rien entre ses seins. On a causé comme ça un quart d’heure, vingt minutes, de tout et de rien, après elle m’a demandé : — Dis-moi, Aurélie, tu nous a vus hier soir dans la salle de bain ? Là je n’en menai pas large, et j’ai répondu en tremblant : — Ben, oui, excuse-moi, j’aurais dû frapper. Autant le matin, et en déjeunant, j’étais rassurée, je me disais qu’ils avaient peut-être rien vu, autant maintenant j’avais peur. — C’est de notre faute, on aurait dû fermer la porte au verrou, tu sais on n’a pas l’habitude d’avoir quelqu’un chez nous. Et tu as vu ce qu’on faisait ?— Ben oui. Je savais pas trop quoi dire. Elle a un peu souri et elle a dit : — Avec Pierre, on aime bien se faire des câlins un peu partout dans la maison. Tu sais, c’est normal quand on est mariés, mais bon ce n’est pas grave que tu nous aies vus, du ...
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